Histoire américaine x
direction: Tony Kaye
distribuer: Edward Norton, Edward Furlong, Beverly D’Angelo, Stacey Keach, Elliott Gould, Fairuza Barker
Titre en VO : Histoire américaine x
Pays de citoyenneté: utiliser an: 1998 période: 119 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: tous les deux scénario: David McKenna la photographie: Tony Kaye musique: Anne Dudley
résumé: La frénésie néo-nazie du garçon américain Derek Vignard (Edward Norton) le pousse à l’extrême. Malgré son QI élevé, ses crimes ont finalement conduit à un meurtre brutal. Mais les restrictions ont aussi une fin : la prison. Là, il découvrira que la vie n’a qu’un sens : vivre. Au cours de ses trois années de prison, il rencontre un jeune homme noir qui, avec l’aide de son ancien professeur, change complètement d’avis. À sa sortie de prison, tout le monde l’attend : sa mère Doris (Beverly D’Angelo), qui prie pour lui ; sa petite amie Stacey (Fairuza Balk), qui aspire à son retour ; et surtout, son jeune frère Danny. (Edward Furlong) est devenu le reflet de son passé. Le jour où Derek a été libéré, Danny a publié un article de classe sur Mein Kampf. Le principal s’est fâché et a forcé le garçon à écrire un article sur les circonstances qui ont conduit à l’emprisonnement de son frère. Alors que Danny ne le sait pas, Derek est un nouveau gars maintenant, et il va essayer de lui inculquer les valeurs de base de la vie.
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Le risque d’introduire le public dans le monde souterrain américain des groupes racistes radicaux, des gangs suprématistes blancs, des skinheads et de divers néonazis en vaut déjà la peine. Aussi, si cela se fait en dépassant les préjugés irrationnels voire banals qui font le sujet, pour plonger dans ses racines sociales, familiales et véritables, il faut enlever le chapeau (attention à ne pas dévoiler le crâne rasé).
Tony Kaye et le scénariste David McKenna ont décidé d’éviter les sujets qui frôlent l’absurdité parce qu’ils ne sont pas complètement pris dedans. Prenez, par exemple, plusieurs documentaires américains enquêtant sur les origines de la sous-culture skinhead. « American History X » nous montre juste un autre exemple de la façon dont la pauvreté et la violence raciale sont inextricablement liées, générées dans la jungle des banlieuesLes protagonistes de cette histoire ne sont rien de plus que de pauvres garçons blancs enfermés dans une impasse qui trouvent un moyen d’exprimer leur colère au milieu de réponses simples et brutales au racisme et au nationalisme. Les gangs néo-nazis ne sont pas différents des autres gangs à cet égard, ils recyclent simplement les pseudo-philosophies et l’attirail nazi, servant parfois sans le savoir des intérêts politiques (la perverse Stacy Keach) tout en les ignorant.
Un film d’acteur plein d’esprit et de talent (changements de textures, passages du noir et blanc à la couleur…), Joué par deux jeunes acteurs presque gigantesques, comme le gentil Edward Furlong, qui a proclamé le châtiment ultime pour la victime, et Edward Norton, qui est maintenant Robert De Niro au lieu de Robert De Niro. Une histoire violente modérée et semi-documentaire avec des personnages secondaires haut de gamme (tueur, très méchante et très chaude Fairuza Balk) et une scène de viol sous la douche, on ne peut que lui reprocher les défauts associés à cette classe aux USA Historiquement ; sa prévisibilité et sa familiarité exagérée adoucissent parfois le ton de la réalité et du documentaire, le rapprochant d’un film de gangster bon enfant typique (genre esprit dangereux) ou d’une véritable histoire de famille classique après le dîner. Ce qui, quand on le regarde, n’est pas si mal.
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