Révélation
direction: Mel Gibson
distribuer: Rudy Youngblood, Dalia Hernandez, Jonathan Brewer, Maurice Bird Yellowhead, Gerardo Taracena, Carlos Emilio Baez, Amilka Ramirez
Titre en VO : Révélation
Pays de citoyenneté: utiliser an: année 2006 date de sortie: 19-01-2007 période: 137 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Mel Gibson, Farhad Safinha la photographie: Dean Semler musique: James Horner
résumé: Avec l’empire maya en plein déclin, la clé de la prospérité était de construire plus de temples et de faire plus de sacrifices. Jaguar Paw (Rudy Youngblood) échappe à son destin en choisissant de donner sa vie aux dieux. filmer en photosDate de sortie : 19 janvier 2007.
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Kamikaze en voie de disparition dans une jungle cinématographique contemporaine, Mel Gibson, dans sa dernière œuvre, atteint un niveau de maîtrise intensément radicale derrière la caméra, aussi massive que les pyramides de la civilisation maya dont il s’approche. Plus qu’une grande anthropologie, l’Apocalypse confirme admirablement le bâtard inclassable d’un écrivain qui a le cran de comparer David Lane à Paul Verhoeven (Braveheart) ou selon saint Matthieu Les Pasolini de l’Evangile et les Pasolini de Salo ou les 120 journées de Sodome (La Passion du Christ échoue). Délecté de créativité, Gibson déroule sous nos yeux une rêverie surréaliste sadique (et bizarrement tendre) d’une culture américaine précoloniale brutale et d’une beauté implacable. Les orgies sensuelles captivantes s’offrent le luxe d’avoir peu de conversation dans la dernière heure : le protagoniste et sa partenaire enceinte traquent au centre des ténèbres. À l’instar de l’alter ego controversé de Mad Max, les exigences esthétiques qu’il remplit sont parallèles à la réaffirmation de l’individualisme, heureusement rejeté comme réactionnaire. La famille, l’honneur et l’individualisme du héros gibsonien typique à l’esprit fort ne sont pas des objets de droite. S’il y a un mot dans ce chef-d’œuvre, c’est canon et réflexion : survie dans des environnements hostiles (naturels, politiques, conceptuels). Apocalypse a trouvé Terrence Malik tout aussi maussade, serein et magistral à travers John Milius. Pour les cinéphiles avides de talentsle meilleur: Un incroyable 50 dernières minutes, bête. le pire: Beaucoup de gens aspirent à Gibson.
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