se cacher à bruges
direction: Martin MacDonald
distribuer: Colin Farrell, Brendan Gleeson, Ralph Fiennes, Clémence Posey, Jeremy Rainier, Thekla Reuten
Titre en VO : à Bruges
Pays de citoyenneté: ROYAUME-UNI. an: Année 2008 date de sortie: 18-07-2008 période: 107 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Martin MacDonald la photographie: Agil Bled musique: Catberwell
résumé: Deux assassins ratés à Londres, Ray (Colin Farrell) et Ken (Brendan Gleeson), sont envoyés par un patron en colère Harry (Ralph Fiennes) pour calmer Blue Day, où ils prévoyaient de passer deux longues semaines inaperçus. Lors de leur retraite forcée dans la ville flamande, ils rencontrent un acteur nain (Jordan Prentice) et Chloé (Clemens Posey), une fille attirée par Ray. Mais tout n’est pas si simple dans cette ville aux canaux…
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Les meilleurs : Gleason, Farrell et Fiennes, chacun avec un ton différent.
Pire : Décès dans le dernier tiers.
Petite blague : L’homme qui a écrit « Linana Beauty Queen » à 25 ans doit avoir de la dignité. Une farce brutale où le terrorisme, la violence et ses effets destructeurs sont tabous occupe le cœur de la pièce, ainsi que dans « Lieutenant Ynishmore », grâce à Harold Pinter Si oui, elle bénéficie aussi des nerfs de Quentin Tarantino. Nous touchons le sol dans le long début de cache-cache à Bruges, où Martin MacDonald transfère deux tueurs à gages qui viennent de terminer leur dernière mission à Londres dans une ville fixe, un parc à thème médiéval qui révèle bientôt son côté le plus sombre. .
Tant que ce n’est pas le cas, ou tant que le spectre du mal et son sinistre syndicat du crime (incarné dans Ralph Fiennes de Méphistophélès) ne contrôlent pas l’histoire, ce film est un plaisir de luxe, des versions décalées belges de ce qui se serait passé si un voyou de pulp fiction était condamné à errer dans le paradis du tourisme pulp. Dommage que cette dérive, si utile aux idiosyncrasies qui définissent cet étrange couple, soit dévastée en une succession de rencontres improbables alors que le dernier tiers du plan se consomme en un festin de sang. À ce stade, Bruges est un enfer que nous n’avons aucun intérêt à visiter.
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