Kung Fu Sion
direction: Stephen Chow
distribuer: Stephen Chow, Yuan Hua, Liang Ruilong, Dong Zhihua, Qiu Zhiling, Xing Yu
Titre en VO : effort
Pays de citoyenneté: Chine Hong Kong an: année 2004 date de sortie: 06-03-2005 période: 99 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Zeng Jianchang, Chen Wenqiang la photographie: Poon Hang Seng musique: Raymond Wang
résumé: Le Ax Gang, la triade la plus puissante du Shanghai pré-révolutionnaire, était déterminé à conquérir une communauté apparemment anodine qui deviendrait le repaire d’un ancien et irremplaçable maître Shaolin.Date de sortie : 3 juin 2005
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Je n’aime pas du tout la version doublée, a récemment admis Stephen Chow. Il se souvient de ce qui s’est passé lorsque son précédent succès international, Shaolin Soccer, a été acquis et publié par Miramax, a retardé la sortie, a surnommé le film goût américain et a coupé 26 minutes de séquences. Pauvre Stephen Chow ! Bien que Sony Pictures Classics ait obtenu un accord plus respectable pour son blockbuster Kung Fu Zion, il n’a pas pu empêcher le salé distributeur espagnol de transformer le dialogue original en un méli-mélo psycho-électronique de personnages avec des Andalous, des Catalans canadiens et, de Madrid et de Galice. La meilleure chose que l’on puisse dire de Kung Fu Zion, c’est que sa grandeur est qu’il a survécu à cette attaque sur sa ligne de flottaison (comique) : le non-sens augmente même, selon la façon dont on le regarde, plus le délire, il nous ramène à d’autres fois… à l’époque du cinéma de quartier, où le film devient une émotion irremplaçable sublimée par la super technologie. Dès la première minute, le Kung Fu est du pur cinéma, du grand équipement (utilisation peu orthodoxe et intelligente de l’imagerie CGI) à l’élégance débranchée des abbés et costellos traditionnels, ils sont tous au travail. Zhou lui-même et son gros partenaire Lin Zizhong. Parodie, mais aussi déclaration d’amour pour les films de genre (épopées d’arts martiaux), ce film commence par une comédie musicale, se termine par un mystérieux délire, et est pur bonheur du début à la fin, nous ramenant à ces années de Terence Hill et Bud Spencer règne sur nos saints. Bien que Zhou Xingchi soit plus élégant. Vibration pour ceux qui vont au cinéma. le meilleur: Une bataille magique avec des musiciens. le pire: Dub espagnol pittoresque.
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