GT expliqué : différents niveaux de voitures autonomes
Les avancées technologiques dans le secteur automobile sont aujourd’hui stupéfiantes. Des fonctionnalités telles que les commandes stéréo au volant et les phares automatiques sont de plus en plus courantes. Des caractéristiques plus importantes, telles que l’ABS, qui améliorent l’efficacité du véhicule, sont également très courantes. Eh bien, ces choses sont excellentes et doivent être appréciées, en particulier l’ABS avec ses avantages en matière de sécurité. Cependant, cela dit, nous entendons de plus en plus parler de voitures autonomes ces jours-ci. Véhicules qui peuvent conduire eux-mêmes.
Conduite autonome | Shutterstock
La perspective de voitures sans conducteur doit être très excitante pour ceux qui font de longs trajets en voiture. Au lieu de vous concentrer sur la conduite d’une voiture et de passer des heures par jour à faire cette activité, vous pouvez utiliser ce temps d’une autre manière, comme apprendre de nouvelles choses.
Les avantages potentiels en matière de sécurité sont là, et ce type de voiture éliminera l’erreur humaine. Notez qu’il s’agit d’une situation idéale, cependant, la technologie actuelle n’a pas atteint ce niveau de sophistication.
Il convient également de noter que la conduite autonome sans intervention du conducteur n’est pas le seul niveau de conduite autonome. Votre véhicule peut être en mesure de se garer en parallèle ou d’avoir un régulateur de vitesse adaptatif. Bien que ces exemples ne soient pas considérés comme une conduite entièrement autonome, ce sont des formes d’automatisation. Dans cet article, nous aborderons différentes formes de capacités de conduite autonome dans les véhicules.
introduire
À mesure que l’automatisation des véhicules continue d’évoluer, les normes à développer et à suivre deviendront de plus en plus importantes. Ceci est important car les normes définissent la manière dont l’équipement doit fonctionner. Ceci est particulièrement important pour des considérations de sécurité, où l’on sait que les appareils ne fonctionneront pas correctement dans certaines conditions s’ils ne respectent pas certaines spécifications.
Heureusement, la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) et la SAE Interational (Society of Automotive Engineers International) aux États-Unis ont créé des catégories clairement définies de niveaux d’automatisation associés aux véhicules. Si ces normes sont adoptées au fur et à mesure que l’automatisation des véhicules devient courante, les gens sauront que, par exemple, si leur véhicule est un véhicule de niveau 0, il n’aura aucune capacité d’automatisation.
Pilote automatique
Les normes font également pression sur les constructeurs pour qu’ils fabriquent des véhicules performants dans des conditions spécifiques. Pour être considérés comme précieux dans un environnement où les normes sont respectées et adoptées, les véhicules doivent répondre à des normes minimales.
Classification
Notre aperçu sera basé sur les directives internationales SAE, qui comportent 6 niveaux, de 0 à 5. Les directives SAE contiennent un critère de plus que les directives NHTSA. Les lignes directrices de la NHTSA sont très similaires, mais n’incluent pas le niveau 5.
Remarques:
Niveau 0
Un véhicule de classe zéro repose entièrement sur le conducteur pour contrôler le véhicule. Ceux-ci étaient populaires à l’époque, mais leur nombre diminue.
Niveau 1
Un véhicule de niveau 1 est capable de contrôler une ou plusieurs fonctions de conduite dans certains scénarios, comme un véhicule qui peut se garer. L’assistance au freinage est un autre attribut de niveau 1. A ce niveau d’automatisation, une seule fonction de conduite peut être prise en charge à la fois.
niveau 2
Les véhicules de niveau 2 sont capables de prendre en charge au moins deux fonctions de commande de conduite et d’automatiser les deux en même temps. La NHTSA cite la combinaison du régulateur de vitesse adaptatif et du centrage de voie comme exemple d’automatisation de niveau 2.
Niveau 3
Les véhicules de niveau 3 sont capables de prendre entièrement en charge le processus de conduite sous certaines conditions. Cependant, dans certains cas, on s’attend à ce que le conducteur prenne le relais.
niveau 4
Les véhicules de niveau 4 sont également capables de prendre entièrement en charge le processus de conduite. Cependant, avec ce type de véhicule, bien qu’une intervention humaine puisse être requise à des intervalles spécifiques indiqués par le véhicule, cela n’est pas nécessaire.
Niveau 5
Les véhicules de niveau 5 sont capables de gérer des scénarios de conduite sans aucune intervention humaine. Le contrôle par un conducteur humain est facultatif.
en conclusion
Actuellement, nous n’avons observé l’automatisation que jusqu’au niveau 3 avec des exemples tels que la voiture autonome de Google, le pilote automatique de Tesla et le kit de pilote automatique de Geohot. La technique nécessite encore quelques ajustements et une intervention manuelle, car le niveau 3 est requis dans certains cas.
Si la tentation de se détendre complètement et d’ignorer sa situation de conduite est compréhensible pour les usagers conduisant ce type de véhicule, elle est actuellement déraisonnable et doit être évitée à tout prix.
Voir le tableau ci-dessous pour un résumé des directives de SAE International.
Norme internationale SAE pour la conduite autonome | SAE International
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