Le livre de la jungle (2016)
direction: Jon Favreau
distribuer: Neil Sethi
Titre en VO : le livre de la jungle
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2016 date de sortie: 15/04/2016 période: 105 le sexe: aventure Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Justin Marc la photographie: Bill Pape musique: John Debney
résumé: Une nouvelle épopée en direct sur Mowgli (les débuts de Neal Sethi), un garçon élevé par une meute de loups dans la jungle, commence un épisode fascinant de lui-même lorsqu’il est forcé de quitter la seule maison qu’il connaît Un voyage de découverte. ça toute sa vie.
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Meilleur: Murray-Baloo et générique de fin
Scénario du pire : Éclosion du gouvernement Lei Lei
Citius, Artius, soyez forts ! la version du public. The Jungle Book XXI suit la devise olympique et concourt dans un esprit de victoire dans les catégories CGI Prodigies, Live Action Prodigies et 3D Wonders. Même si, en fait, le film brise ici un record moins technique mais plus immatériel : ces fables faites avec des animaux parlants qui sont crédibles et délicieuses à l’écran, euh, de vraies images (réalistes, ce serait peut-être mieux, car il y en a beaucoup de pixels par image). Et ne s’approche presque jamais de l’absurdité ou d’une suspension de l’incrédulité !
Le célèbre recueil de contes de Rudyard Kipling de 1894 est devenu une allégorie mettant en scène des animaux et offrant une allégorie aux humains, comme les Fables d’Ésope, les Fables de La Fontaine ou les contes traditionnels pour enfants. Ainsi le message originel (l’homme est toujours l’animal le plus dangereux, la coexistence entre les espèces repose sur un système complexe d’équilibre entre proie et prédateur…) est conservé dans cette version réalisée par John Favreau. Ce n’est pas surprenant : ce message est encore si répandu que dans la même année Disney, un autre film comme « Zoo City » (Byron Howard, Rich Moore & Jared Bush, 2016) a aussi essentiellement parlé de la même chose : la gestion brutale des crises dans un pays civilisé milieu animalier.
Bien qu’en réalité, ce Livre de la Jungle soit basé sur la première sortie de Disney, la version 1967 de Wolfgang Reitermann (à peine sans l’adaptation de 1942 de Zoltan Korda avec Sabu Version). Dans l’imaginaire de plus d’une génération, Mowgli, Baloo, Bagheera, Kha’a, King Louis et Shere Khan auront pour toujours le look, le caractère, le glamour et l’influence intemporels de Disney. Et bien sûr il y a des chansons. Dans cette nouvelle version, il leur est difficile d’éviter que certains personnages chantent, ou du moins, fredonnent les mélodies et les paroles qui sont attachées à ces personnages depuis toujours. Parfois, les choses agissent avec élégance (cas de Baloo), et d’autres fois, c’est poussé (cas du roi Lui). Dans tous les cas, ce sont des frais de nostalgie auto-imposés, peut-être nécessaires uniquement aux publics chevronnés. Car, pour le reste du public, cette histoire immortelle est comme un coup de feu. Le meilleur film animalier bavard en direct depuis « Brave Piggy Baby » (Chris Noonan, 1995) ?
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