Décès de « Tall » Angus Skrim de la saga « Fantastic »
Caracuero est dans notre cauchemar depuis 1974 (un peu plus tard en Espagne) dans « The Texas Chainsaw Massacre ». Michael Meyer a terminé les années 70 avec une grande discothèque, en particulier en 1978, avec son évasion d’un hôpital psychiatrique dans « Halloween Night » de John Carpenter. Symboles d’horreur, nouveaux mythes et monstres terrifiants, monstres classiques qui transcendent (ou suivent) les origines littéraires (Frankenstein, Dracula, loups-garous, momies…) sont mis à jour. En 1980, un an après Fantastic, Jason, le tueur du vendredi 13 (il n’était pas le tueur du vendredi 13, comme tout fan d’horreur le sait : jusqu’au vendredi 13 partie 2 ce n’est pas) chercherait sa place, puis Freddy Kruger. Mais revenons à 1979. La bande-annonce télévisée nous fait flipper en tant que petits enfants. Le couloir, au ralenti, la maison funéraire, des boules de métal volantes avec des couteaux, et lui, ce grand homme effrayant. Après un grand succès aux États-Unis et dans des festivals de films professionnels comme Avoriaz, c’est l’arrivée « rêve » des vrais dormeurs (nous n’avons pas encore appelé ces phénomènes inhabituels au box-office) en Espagne. Dirigé par Don Coscarelli, le grand homme qui a fait des esclaves gnomes (soupçonnés de ressembler aux habitants du désert de « Star Wars ») à partir du cadavre de son funérarium, destiné à entrer dans une autre dimension parallèle, c’est du Angus Scrimm. Pas ce nom, il a donné au film ce nom sombre et sonore. Scrimm est en fait Rory Guy (Lawrence Rory Guy), un amateur de musique classique et expert de 1,93 mètre de haut (il porte du super dans « Phantasma ») avec une carrière d’acteur. Depuis le début des années 1970, il enchaîne les petits rôles dans des comédies ou des films d’action, toujours en tant que voyou ou excentrique. En 1974, il remporte un Grammy pour avoir écrit un album sur le compositeur Erich Wolfgang Korngold et son amour pour les auteurs de bandes sonores comme Les Aventures de Forest Robin, ce qui l’a amené à rencontrer un garçon de 16 ans, très amateur de films et d’horreur. amant, nommé Don Coscarelli. Coscarelli l’aura dans ses débuts de réalisateur « The World’s Greatest Jim » (1976) et « Fantasy » et ses suites. Déjà attaché aux genres de la vie (« Subspecies », « Master of Wishes », « Deadly Frame », « Time Odyssey »…), Skrim aura la chance d’incarner l’étrange « Risk of Vertigo » Christopher dans un non-horror film des années 90 de Christopher Coppola, où il donne la réplique à Nicolas Cage et Charlie Sheen.
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