une bonne année
direction: Ridley Scott
distribuer: Russell Crowe, Albert Finney, Abbie Cornish, Marion Cotillard, Freddie Highmore, Tom Holland
Titre en VO : bonne année
Pays de citoyenneté: utiliser an: année 2006 Date de sortie: 30-10-2006 point final: 118 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Marc Kline la photographie: Philippe Lesaud la musique: Marc Streittenfeld
sommaire: Max Skinner (Russell Crowe) est un banquier basé à Londres qui se rend à contrecœur en Provence, en France, pour vendre le vignoble de son défunt oncle (Albert Finney), où il passait ses vacances dans son enfance. Là, Max découvre une jeune femme prétendant être sa cousine (Abbie Cornish) qui veut également hériter du vignoble, alors le superviseur doit essayer de la démasquer. En chemin, il tombe amoureux d’une fille du coin (Marion Cotillard). filmer en photosDate de sortie : 3 novembre 2006
la revue
Scénaristes Montero & Maidagán Dans leur magnifique sketch de la série télévisée Juan Ignacio et José Ángel, un personnage dit : Gagner Roland Garros, c’est du lait, oui, mais le gagner, c’est toujours… comme c’est ennuyeux. Finalement, vous en avez assez, et un jour vous vous direz : et si je jouais des oranges ? Bonne année, une version masculine du soleil toscan, beaucoup disent que c’est la tentative de Ridley Scott de surmonter l’échec du ciel en faisant tout autre chose (comme le dit Monty Python), en essayant de réussir Celui qui semble lui être très résistant (voir Imposteurs): comédie. Cependant, regarder son dernier film donne l’impression d’être témoin de la façon dont le réalisateur de « Gladiator » convoque le protagoniste à un match de tennis avec des oranges au lieu de balles. Je crains que ce ne soit l’ennui du film avec des défis constants qui véhicule un certain laxisme, un message inhérent à l’intrigue elle-même, bien sûr, mais une fois incarné dans des images et des mots qui ne transcendent jamais la masturbation privilégiée par l’État des mouvements stéréotypés. Handicapée par un rédemptionisme équilibré, quelques tentatives de farce pas très fluides et une fin heureuse à la hollywoodienne, une bonne année est néanmoins moyennement divertissante et pourrait même s’inspirer de ceux qui ne sont pas aussi bien approvisionnés que les personnages de Crow. Arriver aux larmes, se sentir vide, seul et perdu. Dommage que la classe ouvrière ne puisse pas s’offrir certains plaisirs simples. Pour la classe supérieure stressée.le meilleur: Une interprétation de Claude et Cotillard.le pire: Le fou salue Tati.
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