l’ombre de la loi
direction: Daniel de la Tour
distribuer: Luis Tosal, Michelle Jenner, Vicente Romero, Ernesto Artrio, Paco Touse, Manolo Solo, Jaime Llorente
Titre en VO : l’ombre de la loi
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2018 Date de sortie: 11-10-2018 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Patsy Amesqua
sommaire: 1921. L’Espagne traverse un moment mouvementé et chaotique : ces années ont été des années de plomb, le résultat d’âpres affrontements de rue entre voyous et anarchistes. Des gangs et des commerces illégaux sont installés dans la société. Au milieu de ces troubles, Aníbal Uriarte était un policier envoyé à Barcelone pour coopérer à l’arrestation des coupables de vol de véhicules militaires. Anibal et son approche n’ont pas trouvé beaucoup de soutien parmi ses pairs, qui ont immédiatement commencé à s’affronter et à se méfier de leur patron corrompu, l’inspecteur Redu. Anibal sera exposé non seulement à la pègre de la société barcelonaise, mais aussi au monde anarchiste le plus radical, qui est prêt à faire tout ce qu’il faut pour atteindre ses objectifs. Là, il rencontre Sarah, une jeune femme pleine de vie et de mauvaise humeur dont la rencontre a des conséquences inattendues pour eux deux. (.
Le meilleur de tous : une distribution stellaire avec des œuvres de Vicente Romero et Manolo Solo.
Le pire : la grande scène d’Ernesto Alterio a disparu !
Quand Antonio Drove a adapté l’excellent roman d’Eduardo Mendoza « La vérité sur l’affaire Zavolta » (avec une tournure importante et intéressante), il n’a pas choisi un film de gangsters comme modèle, optant plutôt pour la culture politique encouragée par des écrivains italiens comme Elio Petri ou Giuliano Montaldo.Dani de la Torre dans le célèbre Shadow of the Law, une compilation policière Des années, mais surtout morale et politique, la ville des merveilles des turbulentes années 1920 Barcelone, la ville des merveilles, ne nie pas le les mitrailleuses à code du film, les voyous avides de pouvoir (et les cartes de membre d’El Liceo) et les flics de la zone grise.
Plusieurs grandes scènes montrent le faste d’un Brian De Palma inébranlable ou du Cotton Club de Coppola dans notre production : trois plans séquences (Entrée d’Eden, Bataille dans l’usine et Bataille dans la voiture) Et une scène (tournée pour le final) encore une fois a mis en valeur la virtuosité du réalisateur.
Pourtant, comme Droff dans l’histoire de Barcelone sur les anarchistes, la bourgeoisie et les travailleurs, de la Torre sait que c’est une histoire de violence sociale, un œuf de serpent qui nous mène à la guerre civile. Pour cela, il cite élégamment un autre Italien : Sergio Leone. Celui de Once Upon a Time in America, mais surtout celui combatif de « Go Down, Damn ».
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