La dernière bêtise de Claire Darling
Film de Poisson
direction: Julie Bertuccielli
distribuer: Catherine Deneuve, Chiara Mastroianni, Samir Guesmi, Laure Calamy, Alice Taglioni, Johan Leysen, Olivier Rabourdin
Titre en VO : dernière folie de Claire Darling
Pays de citoyenneté: La France an: 2018 Date de sortie: 17/05/2019 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Julie Bertuccielli, Sophie Filius la photographie: Irina Lubchanski
sommaire: C’est le premier jour de l’été à Verderonne, une ville de l’Oise près de Paris, et Claire Darling se réveille convaincue que c’est son dernier. Il a décidé de vider sa maison et de faire une brocante. Ces objets adorés reflètent une vie tragique et glorieuse. La dernière folie de Claire entraînera le retour de sa fille, Mary, qu’elle n’a pas vue depuis 20 ans.
Meilleur : Des scènes avec des personnages comme témoins de leur passé.
Le pire : une fin qui brise l’harmonie de l’histoire.
Le réalisme magique est une excellente ressource pour adoucir les histoires tragiques. La réalisatrice française Julie Bertuccieli se tourne vers lui dans la série, dans laquelle le personnage principal, Catherine Deneuve, est toujours aussi charmante et elle pense que ce sera le dernier jour de sa vie. La proposition rappelle de merveilleuses fenêtres (C. Sorín, 2008), mais avec un léger relief comique. Rien ne semble se passer dans l’un des films, mais il se passe beaucoup de choses.
Convaincue qu’elle était en train de mourir, Claire Darling a vendu tous ses biens pour un prix dérisoire. Cette décision a déclenché le retour de sa fille, qui s’est enfuie de chez elle après un drame familial. Il est joué par la propre fille de Deneuve, Chiara Mastroianni, qui ressemble de plus en plus à son père le grand Marcelo. Les personnages sont reliés par des objets (une bague, une montre, un tableau, des robots), le passé et le présent se confondent dans leur esprit, et même des fantômes du passé apparaissent. La réalisatrice conserve la touche animiste et l’intérêt pour les liens familiaux qui étaient présents dans sa précédente fiction, L’Arbre (2010), et fréquents dans ses films. Mettez en avant la musique inspirante d’Olivier Daviaud.
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