ouest
direction: Chus Gutiérrez
distribuer: Cuca Escribano, José Coronado, Antonio Decant, Mariola Fuentes, Farid Fatemi, Robert Longo, Robert Longo
Titre en VO : ouest
Pays de citoyenneté: Espagne an: année 2002 Date de sortie: 13/09/2002 point final: 95 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Chus Gutiérrez la photographie: Karl Guth la musique: Tao Gutiérrez
sommaire: Lucia (Cucca Escribano), enseignante à Madrid, retourne dans sa ville natale d’Almeria avec sa fille pour les funérailles de son père. La mer où sa première fille s’est noyée il y a de nombreuses années coexistait avec un autre type de plastique, la serre des immigrés maghrébins détournés, tout comme elle en a hérité de son père. Bien que sa décision de reprendre l’entreprise l’oppose à son cousin (Antonio Dechent), elle a de nombreuses raisons de rester, comme sa nouvelle idylle avec Curro (Jose Coronado) ou son amitié avec Perla (Mariola Fuentes).
la revue
C’est un film de Juan Azurmendi, président du Forum sur l’Immigration, et les propriétaires/exploitants accusés de torturer le soi-disant océan de plastique, les cultures sous serre à Almeria, la main-d’œuvre migrante Les maux des sociétés émergentes. Car s’il y a quelque chose dans les films de Chaus Gutierrez, c’est que sa position est claire : pour les Marocains démunis, les Subsahariens, les Européens de l’Est ; Connaître des gens qui ont été exploités parmi les immigrés européens dans les années 1960 (en ce sens, Coronado, qui a grandi en Suisse, médite sur l’image des immigrés espagnols qui ont tant souffert en Europe il y a un peu plus de trois décennies) ; par ceux qui croient au protagoniste de l’histoire (le drôle Kuka Escribano) qu’il est possible de vivre dans une serre sans exploiter qui que ce soit. Parfois trop évident, voire naïf, mais filmer cela serait impensable sans cela.Les hypothèses sur le fonctionnement des émeutes anti-immigrés d’El Ejido, qui sont à la base de ce film, Gutiérrez emploie une sorte d’approche qui lui convient très bien. Approche : Une structure narrative qui n’a pas grand-chose à voir avec les films sociaux comme les westerns. En fait, Escribano le mentionne en passant (peut-être vivons-nous à l’ouest, dans un pays de non-droit ?) ; mais ce n’est pas seulement un homme qui vit dans l’empire du plus fort : et, comme dans beaucoup de western comme dans le film , la vue privilégiée est celle du rapatrié. Comme dans de nombreux romans de bouviers, on assiste ici aussi à la cupidité d’un propriétaire terrien qui désire plus de terres ; comme dans de nombreux westerns coloniaux, on voit des immigrés qui, grâce à leurs efforts, vont faire fortune apporter leur contribution. Le fait que Poniente souffre d’une sorte de caractère et de situation de botulisme (il y a beaucoup de lignes dans le script qui restent parfois à la surface) ne le rend pas moins nécessaire : afin que nous puissions revisiter de manière critique ces jours racistes et terribles de xénophobie. .. malheureusement, ils peuvent être répétés n’importe quel jour et n’importe où. >> Pour tout citoyen consciencieux. Le meilleur : sa propre présence.Le pire : son schéma
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