Au revoir Antonio Isassi-Isas Mendi, notre meilleur exportateur de films d’action
Antonio Isasi-Isasmendi, prêt à conquérir le monde.
On parle beaucoup aujourd’hui de l’excellente facturation de notre thriller, et si « El Niño », si « Rage est en retard », et tout ce qui reste à venir. Mais ce type de santé vient de loin. Dans les années 60 et 70, Antonio Isassi-Isasmendi Thrillers vedettes internationales, coproductions européennes ambitieuses telles que « Istanbul 65 » (1965), « Las Vegas, 500 Millions » (1968) ou « Las Vegas, 500 Millions » (1968) A Summer in ‘Kill’ (1972), mettant en vedette Carl Malden, Olivia Hussey, Christopher Mitchum ou Ralph Wallon.
Antonio Isassi-Isasmendi est né à Madrid le 22 mars 1927 et a fait ses débuts en tant qu’enfant acteur et doubleur. Freddie Barthélemy Dans « Petit Maître » (John Crowell, 1936), etc., au studio Voz de España à Barcelone. De là, il est allé à la salle de montage et a assemblé, par exemple, le fabuleux « PO Box 1001 » (Julio Salvador, 1950), l’un de nos meilleurs romans noirs de Barcelone, écrit par lui-même et Julius Cole
Tournage « Police Story ».
Il a commencé à réaliser indépendamment le court métrage promotionnel de voyage « Barcelona es bona » (1950), suivi de son premier long métrage « Police Relato » (1954). Il crée sa propre société de production pour Rhapsody in Blood (1958) et fait un saut international avec The Mask of Scaramush (1963). En 1975, il a eu une fille qui est également comédienne Maria Isassi et sa compagne, Marisa Paredes, Il a joué dans El perro (1977), une adaptation du Alberto Vazquez Figueroa À propos d’un prisonnier politique évadé poursuivi par un chien assoiffé de sang.
Dans les années 2000 de Goya, avec sa fille Maria Isassi.
Il a également signé le premier film de réconciliation sur la guerre civile, « Tierra de todos » (1962), réalisé l’extraordinaire documentaire musical « Rafael en Raphael » (1975), a été nominé pour « El aire de un » meilleur scénario adapté pour Ya Muerte’ (1988), adapté de John Bennett, Et enfin en 2000 a reçu la médaille d’honneur Goya en reconnaissance de l’ensemble de sa carrière. Après avoir pris sa retraite au paradis à Ibiza, il publie son deuxième mémoire, « The Grey Days » (Aguilar, 2012), après « Memories behind the camera (50 years in Spanish cinema) », ou à travers les yeux d’un enfant Arrived Civil War, ce qu’il aurait aimé voir à l’écran. Bien écrit et lu jusqu’à présent. Hautement recommandé.
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