Neuf reines
direction: Fabien Belinski
distribuer: Ricardo Darling, Leticia Bradys, Gaston Paulus, Thomas Fonzi
Titre en VO : Neuf reines
Pays de citoyenneté: Argentine an: 2000 Date de sortie: 11 novembre 2000 point final: 115 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Fabien Belinski la photographie: Marcelo Camorino la musique: César Lerner
sommaire: Juan (Gaston Paulos) et Marcos (Ricardo Darling) sont deux petits menteurs qui se rencontrent un matin par hasard et se retrouvent impliqués dans une affaire qui pourrait faire d’eux des millionnaires. En effet, tous deux joueront leur destin, leur présence ou leur absence, dans moins de 24 heures.
la revue
Bien qu’il soit sorti dans six salles, The Nine Queens risque encore d’être oublié : à cause de sa date de sortie (fin août), à cause de son titre bizarre, et à cause du fait qu’il est argentin. Cependant, c’est un joyau, celui qui n’est qu’à un pas d’un chef-d’œuvre. Définissons-nous un chef-d’œuvre? Une belle histoire, un superbe jeu d’acteur et une main pour vous guider à travers toutes les possibilités du matériau. C’est dur d’écrire « Nine Queens » car il s’agit de ne rien dévoiler : l’idéal est que le public entre dans la salle sans savoir ce qu’il va voir. Disons simplement que a) ce film est ce que les Américains appellent un hop, un complot de déception, bien supérieur au nœud des genres comme « El coup » ou « Casa » de George Roy Hill en termes d’intrigue et de complexité Fragment Game » et » Plot », de Mamet et b) Les Neuf Reines de son titre sont un pur MacGuffin, neuf timbres extrêmement précieux dont la vente pourrait changer la vie de ses protagonistes. Ses protagonistes sont deux Menteurs, ou mieux encore, deux arnaqueurs de rue, deux magiciens du mensonge : Marcos le renard professionnel et Juan le renard novice. Le film dure 30 heures et Marcos et Juan doivent mettre en scène une scène qui mettra fin à tout Un canular de canulars, dont la victime sera un homme d’affaires catalan (vétéran Ignaci Abadal). Le premier partie est presque un documentaire de rue, dans lequel une paire de renards se défient pour démontrer leurs compétences respectives et culmine dans la séquence d’anthologie, Rayons X – à travers les yeux aux rayons X de Marcos¿ un ballet secret de tromperie et de braquage, en plein jour, sur la Plaza de Buenos Aires. De là, ce Un documentaire s’est transformé en une course contre la montre, semée d’embûches, plus rebelle que la cervelle d’un tigre adulte. Un exemple de comment faire un film à haute tension sans gratuité violence ou explosions toutes les dix minutes. >> Pour Will Lies en tant qu’amateur d’art à son meilleur : une intrigue qui vous fait vous gratter le nez, vous secouer et ne pas lâcher prise pendant deux heures. Pire : quelques petits pièges inutiles (et des prisons )
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