Miss Peregrine Home pour enfants spéciaux
direction: Tim Burton
distribuer: Eva Green, Asa Butterfield, Isla Purnell, Samuel L. Jackson, Judi Dench, Allison Janney, Rupert Everett, Terence Stein Pope, Kim Dickens
Titre en VO : Miss Peregrine Home pour enfants spéciaux
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2016 Date de sortie: 30-09-2016 point final: 127 le sexe: excellent Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Jane Goldmann la photographie: Bruno Del Bonnel la musique: Matthieu Maggieson
sommaire: Jacob (Asa Butterfield) échappe à une tragédie familiale qui l’emmène dans un internat pour Miss Peregrine (Eva Green), qui abrite un incroyable groupe de jeunes qui doivent toujours répéter le même jour. Là, il doit affronter Barron (Samuel L. Jackson) et protéger son nouveau coéquipier.
la revue
Le plus : ses jolies factures.
Pire encore : Burton découvrit un jour que le pilote automatique pouvait remplacer l’impulsion créative.
Tim Burton a commencé le 21e siècle dans le mauvais sens : dans l’année 2001 de Kubrick, un en-cas de singe indigeste a déclenché une trajectoire parfaite : le plafond, pas le ciel. ), « The Nightmare Before Christmas » (1993, réalisé par Henry Selick, mais avec Burtonian au cœur), « Ed Wood » (1994), « Mars Attacks! » (1996) et « Sleepy Hollow » (1999) plus jamais brillait avec cet éclat inégalé, bien que dans « The Corpse Bride » (2005) et In Frankenstein (2012), des éclairs et des éclairs apparaissent dans Todd the Sweeney. : The Demon Barber of Fleet Street » (2007) et « Shadow » (2012). « Miss Peregrine’s Strange Children’s Home » contient également des images puissantes et magnifiques et un ajustement parfait gouverné par des créatures incroyablement étranges dans l’histoire dramatique. Mais Après un démarrage réussi pour attirer l’attention, le sentiment de voir un pur Burton disparaît: Ensuite, une salade avec une variété d’ingrédients qui ne vont pas toujours bien ensemble : un peu de la série « X-Men » (Jane Goldman, scénariste de X-Men : First Class de 2011, pas choisie au hasard), un autre de la saga Harry Potter, clignote « Time Trap » (Harold Ramis, 1993) et « Jason and the Argonauts » (Don Chaffey, 1963) en guerre avec Skeletons et « The Devil’s Backbone » (Guillermo del Toro, 2001), en ce coup de bombe effrayant mais inspiré de la danse.sans doute Un grand fantasme pour tous les âges, Mais Burton d’antan, avec sa puissance poétique et la mélancolie qui émane de ses personnages (aucun ne se compare même à Eduardo, Edwood ou Jack Kellington) brille ici, comme dans « Charlie et la chocolaterie » (2005). ) ou « Alice au pays des merveilles » (2010), très faiblement éclairé.
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