légende du temps
direction: Issaki Laquista
distribuer: Israël Gomez, Makiko Matsumura, Francisco José Gomez, Tsuzune Soichi, Jesus Monye
Pays de citoyenneté: Espagne an: année 2006 Date de sortie: 06-01-2006 point final: 115 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Issaki Laquista la photographie: Diego Dussel la musique: Raimondo Amador, Joan Albert Amagos
sommaire: La mort de son père a laissé le petit Israel, un gitan de 12 ans, avec un penchant pour le chant et aucune possibilité de développer sa passion pour la musique. Au même moment, également à San Fernando (Cadix), Makiko, une Japonaise venue en Espagne et obsédée par la danse flamenco, a tenté d’entrer dans le monde magique de Kante.Date de sortie : 2 juin 2006
la revue
C’est un film facile et difficile. C’est facile car, comme les personnages qui le traversent, il circule entre l’écran et le public comme un filet d’eau propre. C’est difficile parce qu’on ne sait pas classer. Ce n’est pas un documentaire, mais ce n’est pas non plus un roman. Documentaire, non-fiction ? Non, il ne l’est pas non plus. Le film est le plus proche du néoréalisme de ces dernières années. Utilisez le néoréalisme pour comprendre quelle est l’étymologie du mot : néoréalisme, pas à quoi l’historiographie cinématographique fait référence. Voyons. La légende du temps est née d’un vœu. Apprenez où Camaron est né et a vécu. C’est le souhait, mais la réalité l’emporte et une fois sur l’île de San Fernando, le réalisateur découvre d’autres histoires : l’histoire d’un garçon nommé Israël qui a perdu son père, l’histoire de son frère Cheíto, l’histoire de la petite amie de Sarah. Il y a aussi l’histoire d’une femme japonaise qui est venue sur l’île pour apprendre à chanter comme un camaron. Le réalisateur les voit, les écoute, les filme, les laisse vivre et respirer. Pas seulement comme ils le voulaient, mais comme il le voulait. Le diptyque, qui raconte deux histoires vraies, devient aussi deux strophes d’une même chanson. Deux fragments de vie distincts constituent un nouveau film en durée et en intensité : le (néo)réalisme d’un film emporte par sa simplicité, sa poésie et son intensité.Pour les amateurs d’histoires proches.le meilleur: Israël Gomez et Makiko Matsumura. le pire: Je pense que c’est un documentaire sur Camaron.
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