zone grise
direction: Tim Blake Nelson
distribuer: David Arquette, Steve Buscemi, Harvey Keitel, Mira Sorvino, Daniel Benzali
Titre en VO : zone grise
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2001 Date de sortie: 30-11-2001 point final: 108 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Tim Blake Nelson la photographie: Russell Lee Fine, Plamen Somov la musique: Jeff Dan
sommaire: L’histoire se concentre sur les expériences du 12e commando spécial juif d’Auschwitz, qui a eu l’occasion de tuer d’autres prisonniers du camp d’extermination en échange de mois de vie supplémentaires.
la revue
Tim Blake Nelson fait partie de Brothers! Qui a des plaintes. Une histoire peu connue, malgré le flot incessant de films et d’émissions de télévision impliquant des camps de concentration. C’est inclus (parce que c’est basé sur des faits réels) Primo Levi dans « Les Noyés et les Sauvés » : la coopération de quelques juifs sur la machine pour faire fonctionner le camp de concentration, mettre des corps dans des fours, déclencher des douches de gaz. Ces collaborateurs n’avaient plus que quelques mois à vivre, un terrible espoir, puis se rendaient dans le même charnier avec leurs propres victimes. Par conséquent, il est difficile de résoudre ces faits et la révolte que certains prisonniers d’Auschwitz ont été réprimés. Naturellement, la « zone grise » condamne l’extermination proverbiale des Juifs d’une manière plus horrible. Mais elle accuse aussi, ou du moins justifie, l’attitude corporatiste de certains d’entre eux. Tim Blake Nelson évite ces dangers et d’autres avec un récit simpliste, sec et sombre, pas particulièrement vertueux et plus impressionnant que toute sentimentalité. Aux antipodes de La Liste de Schindler, « Zone grise » n’est pas du tout un téléfilm, comme on dit : la caméra témoigne simplement des événements, parfois même sur un ton quasi documentaire, montrant à un camp de concentration comment il se forme. Une distance très utile et efficace qui laisse les téléspectateurs incapables de se consoler après un voyage étouffant en enfer. >> Pour ceux qui pensent tout savoir sur Auschwitz. >> Le meilleur : ton froid, analytique et impitoyable. >> Le pire : l’accent d’Harvey Keitel.
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