Autour du monde en 80 jours
direction: Franck Collage
distribuer: Steve Coogan, Jackie Chan, Cecil De France, Jim Broadbent
Titre en VO : Autour du monde en 80 jours
Pays de citoyenneté: utiliser an: année 2004 Date de sortie: 23-07-2004 point final: 110 le sexe: aventure Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: David N.Titcher, David Benullo, David Andrew Goldstein la photographie: Philippe Mayer la musique: Trevor Jones
sommaire: Un pari audacieux conduit l’inventeur londonien Phileas Fogg (Steve Coogan) à tenter de faire le tour du monde en seulement 80 jours. Il est accompagné de sa gouvernante (Jackie Chan) et d’une artiste française (Cécile de France). Le trio singulier partira à l’aventure d’un bout à l’autre du globe.
la revue
Cette nouvelle version du classique de Jules Verne va complètement à l’encontre de la foi de son protagoniste : alors que Phileas Fogg parie aveuglément sur l’avenir et le développement de la science, le film de Frank Collage est dans l’air du temps. Non seulement il n’y a pas un millimètre de amélioration dans la compétition. Le blockbuster actuel, mais se précipitant dans le tunnel temporel pour réunir les comédies géantes des années 60, des passe-temps délicieux comme le monde est fou, fou, fou, fou, le jeu du siècle, ces gadgets fous, ou, Pourquoi pas, Michael Anderson a remporté un Oscar en 80 jours à partir de 1956. Les films succombent à la persécution et à la persécution des films muets classiques, qui peuvent sembler meilleurs ou pires selon le talent de chaque auteur (sans aucun doute, Blake Edwards fronde Stanley Kramer, Ken Anakin et Anderson Soup) mais à la fin, ils ne l’ont pas fait inventer n’importe quoi. Ne vous attendez donc pas à ce que Van Helsing ou Troy s’appliquent à l’univers Verne. Même dans la section gag, dans son catalogue de chutes diverses, de combats et d’aventures terrestres, maritimes et aériennes, il n’y a rien d’autre que le syndrome de base de la peau de banane, mais grâce à son insistance abusive, qui fixe le personnage de l’inspecteur Incarnant Ewen Bremner, un gars qui obtient toutes les bonnes choses (un peu comme OJ Simpson du Grab it as you can), finit par être vraiment amusant. Dans l’ensemble, Le tour du monde en 80 jours est un divertissement assez engageant si l’on accepte ses défauts et sa simplicité. Et, bien sûr, c’est un spectacle très intéressant pour un public enfantin qui trouvera au moins le squelette d’une comédie comique : burlesque banale, austère, sans malice ni créativité, mais aussi sans falsification. Pour ceux qui manquent la comédie des éléphants des années 60. Le meilleur de tous : Ewen Bremner, fatigué des laquais. Le pire de tout : l’excès de Jackie Chan.
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