Adieu au mari de Barbier Jean Rochefort
Jean Rochefort sur le tournage de « Le Mari du Barbier ».
Né à Paris le 29 avril 1930, fils d’un Breton, son intemporelle barbe gauloise semble nous rappeler qu’il a passé la guerre à Vichy, siège du gouvernement de Vichy. Pétain. Après la guerre, il étudie à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts de Paris, entre autres bonnes gens Jean-Paul Belmondo, Claude Ricci, Bruno Kramer ou Anne Girardeau, Bien qu’il soit le seul à ne pas avoir obtenu son diplôme.Cependant, il se lance sur la scène théâtrale, où son attitude distinguée et légèrement britannique lui permet de représenter le travail d’écrivains tels que Harold Pinter. Plus tard, il commence à se faire un nom au cinéma, soutenant ses amis du conservatoire comme Belmondo, réalisant des films comme Cartouche (1962) ou La Misère d’un Chinois en Chine (1965), les deux films sont réalisés par Philippe De Broca. Pour la première fois, il découvre sa plus grande passion : l’équitation.
Ses débuts au théâtre.
Dans les années 1970, il se laisse pousser la barbe pour l’émission « Le Misanthrope » de Molière, Il fera ses premiers pas de réalisateur avec plusieurs courts métrages « Rosine » (1973) sur des champions d’équitation et des portraits d’humoristes. Marcel Dalio, Bien qu’il n’ait réalisé qu’un seul documentaire sur les chevaux, et interprète certains des films dans lesquels il a participé comme « faisant du foin pour ses chevaux ». Il est devenu extrêmement populaire grâce à des comédies comme The Big Blonde in Black Shoes et ses suites ; « An Elephant Made a Huge Mistake » et Sequels, ou « But… Who Killed the Great » chef ? Il acquiert un certain statut d’acteur de théâtre. En 1972, il obtient son premier rôle principal dans « Amor en rebeldía » (Sergey Kerber, 1972) et d’autres rôles clés comme « Poisson d’avril ‘Dirty Hands » (Claude Chabrol, 1974) et commissaire Gilboud dans L’Horloger de Saint-Paul (Taverne Bertrand, 1974), la célèbre adaptation Simonnon mettant en vedette son meilleur ami Philippe Noire. Grâce à Tavernier, qui le répète dans « Que la fête commence » (1975), il remporte le premier César de l’histoire.Le second joue un autre rôle dramatique dans « Le Crabe-Tambour » (Pierre Schondorfer, 1977) et un troisième en 1999, déjà honorifique.
1978 avec Simone Signoret aux Césars.
En plus d’être un homme fort du cinéma français, Jean Rochefort aussi pour Luis Buñuel Dans la production française de « Le Fantôme de la Liberté » (1974), pour route james Dans « The Long Winter » (1992), même pour Tricycle Dans ‘The Palace’ (1996), avant de jouer Fernando Truba « Artistes et Modèles » (2012).Bien que la mémoire de notre nation emportée dans la tombe puisse être une adaptation ratée et inachevée de Don Quichotte Terry Gilliam, Cela a inspiré le documentaire « Lost in La Mancha ». Il devait incarner un gentleman à la silhouette triste, mais il souffrait d’une hernie discale et il ne pouvait plus monter à cheval.
Il existe d’innombrables films auxquels les polaires ont participé, tels que « Sinners » (Jacques Delray, 1963) à la comédie susmentionnée, même si le public se souviendra d’abord de lui pour les films qu’il a réalisés Patrick Leconte (« Tandem », « Ridicule »…), notamment dans « Le Mari du Barbier », où il joue de toute sa vie, grâce mélancolique, phrasé parfait, et joie de vivre vulnérable.
Jean Rochefort a eu beaucoup de passions et de déceptions, même s’il n’a été marié que deux fois, Alexandra Mosava, Il voulait « sauver du communisme » et travaillait avec des architectes Françoise Vidal, Son grand amour, il a survécu. Au mariage, ses bons amis Noiret et Belmondo ont assisté à son mariage en tant que témoins.
Mariages avec témoins spéciaux.
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