La Terre est en danger ! : ‘Moonfall’ et 25 autres films catastrophe
Le jour de l’indépendance contre-attaque
Master of Disaster Movies, Chaos and Destruction, revient. Ronald Emmerich sort « Moonfall » ce week-end Depuis que l’italien Luigi Maggi a adapté pour la première fois « Les derniers jours de Pompéi » en 1908, le moment est venu de revenir sur le genre et de voir comment il a évolué sur 100 ans.
etEn pleine pandémie, la récente éruption de La Palma, près d’une semaine après qu’une forte chute de neige (Philomena) a paralysé la capitale espagnole, Imaginer une catastrophe naturelle qui anéantit toute une population ne semble plus si loin. Nous sommes également confrontés à la menace permanente du changement climatique, Tous les deux ou trois articles sont remplis d’articles annonçant qu’un astéroïde passera par la Terrechaque été des feux de brousse, des tremblements de terre, des inondations de plus en plus tragiques et généralisés… La possibilité que Pachamama adresse un ultimatum à l’humanité sous forme d’extinction nous terrifie, et le film a été divisé de cette préoccupation Obtenir une part du gâteau.
Les films catastrophes ont atteint leur apogée dans les années 1970.mais curieusement, Reason for Prosperity n’est pas un film sur les éléments naturels. « Aéroport » (George Seaton) Ce fut un énorme succès au box-office en 1970, rapportant plus de 100 millions de dollars. Bien que l’intrigue se déroule au milieu d’une tempête majeure, ce n’est pas la principale préoccupation des passagers du vol principal. Un passager de l’avion transporte une bombe dans une malletteSa collection a donné lieu à des séquelles et des parodies (le mythique ‘atterrir le plus possible‘), ainsi que sa fameuse structure et son refrain désastreux (Burt Lancaster, Dean Martin, Jean Seberg, Jacqueline Bisset, George Kennedy, Helen Hayes, Maureen Stapleton, Van Heflin) est une tentative de réutilisation ‘Poséidon (Gene Hackman, Ernest Borgnine, Shelley Winters), tremblement de terre (Charlton Heston, Ava Gardner), Geneviève Bujold, George Kennedy) et « Burning Giant » (Steve McQueen, Paul Newman, William Holden, Faye Dunaway, Susan Blackley, Fred Astaire, Jennifer Jones, Richard Chamberlain, OJ Simpson, Robert Vaughan).
Ce n’est qu’à la fin des années 1990 que « Disaster » revient sur les écrans de cinéma.Les responsables du renouveau du genre sont Jan de Bont avec « Twister » (tornade), RGerald Donaldson et « Une ville appelée Dante’s Peak » (volcan), Mick Jackson et « Volcan » (volcan), Mimi Leder et « Influence profonde » (Météore) Et bien sûr Michael Bay et La fin du monde. Si Emmerich est le maître des films catastrophes, alors Michael Bay est le roi des tubes. Et Doomsday est l’endroit où il joue le mieux. Comment oublier ces météorites qui ont atterri à New York,’Je ne veux rien manquer’ par Aerosmith Jeu tous azimuts et disputes folles Un groupe de mineurs sur une plate-forme pétrolière dirigé par Bruce Willis doit se rendre dans l’espace pour placer une bombe nucléaire à l’intérieur d’un astéroïde comme seul espoir de l’humanité?
Le « ne regarde pas‘ et ‘coucher de lune‘Est-ce qu’une nouvelle mode désastreuse sera supposée? Si oui, bienvenue. Mais seulement dans la fiction. S’il te plaît.