roses de france
direction: Manuel Gutiérrez Aragón
distribuer: Jorge Perugoria, Alex Gonzalez, Broselianda Hernandez, Ana Celia de Armas, Jorge Losada
Pays de citoyenneté: Espagne, Cuba an: 2005 Date de sortie: 03-02-2006 point final: 100 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Manuel Gutierrez Aragon, Cenel Paz la photographie: Alfred May la musique: Xavier Capelas
sommaire: Simon (Jorge Perugoria) trafique des gens vers l’Amérique et envoie des filles rurales dans une maison chic dirigée par sa femme (Brosrianda Hernandez), les éduquant à devenir des « jeunes filles », et finit par épouser des hommes plus âgés et plus riches. Le conflit surgit quand Andres (Álex González), qui travaille pour lui, tombe amoureux d’une des jeunes Marys (Ana Celia de Armas).Date de sortie : 3 février 2006
la revue
Comme tous les grands créateurs, les bords formels des films de Manuel Gutierrez Aragon ont été affinés, polis et archivés au fil des ans, rendant son discours propre, presque apprivoisé : rustique. C’est ce qui se passe dans « Rose de France », un film où la profonde noirceur du discours (d’abord sur la perte et l’abandon) semble être submergée par une scène calme, lumineuse, voire une fausse nostalgie dans le premier exemple, pensant à quelques sujets, sur une certaine idée, un certain imaginaire qu’on associe à Cuba presque depuis l’époque coloniale espagnole (la lascivité de la vie, le pays des femmes faciles, le bordel des fortes), et finalement, ce film traite avec une lecture possible de la veille du post-castrisme : après tout, bien que son action se déroule à un moment indéterminé dans les années 1950, il n’est pas difficile d’identifier tant de choses contemporaines, de l’anti-impérialiste à la dédicace au méchant /bon gars qui s’est avéré être Jorge Perugoria, aux problèmes actuels tels que l’immigration secrète en Amérique. De temps en temps la table tourne, et au final, les bonnes histoires s’ouvrent toujours comme un ouragan (comme l’aurait espéré le vieux maître Hitchcock) : histoires d’amour, urgence physique, tout dynamisme de jeunesse. Pour les amoureux pro-cubains et les téléspectateurs intelligents. le meilleur: La capacité de construire un discours caché après l’autre. le pire: Il faut faire attention à ne pas confondre la douceur de la scène avec la simplicité de l’arrière-plan.
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