et ta mère
direction: Alphonse Cuaron
distribuer: Maribel Verdu, Gael García Bernal, Diana Bragio, Emilio Echevarria
Titre en VO : et ta mère
Pays de citoyenneté: Mexique, États-Unis an: 2001 Date de sortie: 11 novembre 2000 point final: 105 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alfonso Cuaron, Carlos Cuaron la photographie: Emmanuel Lubezki
sommaire: Julio (Gael García Bernal) et Tenoch (Diego Luna) sont deux amis de 17 ans désireux de mûrir. Un jour, ils rencontrent Luisa (Maribel Verdú), une Espagnole de 28 ans, et ils commencent à flirter avec elle. Pour plaisanter, ils l’ont invitée à les accompagner sur une plage imaginaire qu’ils ont appelée Boca del Cielo.
la revue
Combien de fois avons-nous vu des road-movies avec des triangles, au moins depuis « Asphalt Road in Two Directions » de Monte Herman ? Ce qui rend la proposition d’Alfonso Cuarón originale, le Mexicain qui a remporté un succès écrasant dans son pays avec « Seulement avec votre partenaire », on s’en souvient surtout, il était plus pour Gwyneth Une adaptation ratée mais personnelle du « Grand Espoir » construit pour la gloire par Paltrow ? D’abord, son caractère ovale : le récit ne cache jamais que son sens est imposé par le narrateur hors champ (et surtout, il fait de sa voix autoritaire le véritable point d’ancrage du sens), Y tu madre semble aussi émouvante dans The le terrain en mouvement était particulièrement détendu, comme si quelque chose d’important était caché. À mon avis, No Man’s Land est la meilleure exploration du film. Les paysans qui passent comme des fantômes, les flics partout, mais qui passent au fil de la caméra ; sur la pointe des pieds à travers une dure réalité, évidemment étrangère aux personnages, mais pour moi visible, ce qui semble être le principal pari de Cuaron. Une autre tout aussi importante : le thème central de la réalisation du film, la toile secrète qui le parcourt, est traité avec un silence similaire. Alors parfois, à nos yeux, on est face à un film d’été sans intérêt avec trois personnages coincés dans une voiture en route pour Paradise Beach, alors qu’en réalité on est face à de multiples trahisons, croyances, l’éducation d’un macho Des tabous sont établis avant l’assaut du désir. Au final, le film a quelques hésitations qui le rendent inutilement laid : l’un, trop verbalisé, qui fait exploser certaines de ses séquences ; l’autre est le disque d’interprétation déchiqueté de Maribel Verdú, qu’elle a enduré en sa présence Tout le film, mais elle est plus à l’aise que les séquences insouciantes de jeunes gens, les conversations téléphoniques douloureuses interrompues à la va-vite. Pour un film à la fois intelligent et critique underground, détail toutefois mineur : presque subversif. >> Convient aux amateurs de road movie en déplacement. >> Meilleur : García Bernal y Luna : Un travail précoce, le sien. >> Scénario du pire : Il y a une certaine hésitation dans le développement de l’itinéraire.
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