chef d’état
direction: Danny Lévy
distribuer: Ulrich Muhl, Ulrich Northen, Stefan Kurt, Adriana Altalas, Sylvester Gross, Helga Schneider, Ax Ernest Werner, Torsten Michaelis, Udo Kroschwald, Lambert Hamel
Titre en VO : chef d’état. Die wirklich wahrste Wahrheit über Adolf Hitler
Pays de citoyenneté: Allemagne an: 2007 Date de sortie: 07-08-2009 point final: 89 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Danny Lévy
sommaire: Décembre 1944 : « Total War » est un échec complet. Cependant, Goebbels (Sylvester Gross) ne sera pas éliminé si facilement. Le jour de l’an, le Führer (Helge Schneider) est censé remonter le moral de l’opinion par un discours radical. Le seul problème est que le Führer ne peut pas le faire. Malade et déprimé, il évitait tout contact humain. La seule personne qui peut l’aider maintenant est son ancien professeur de théâtre, Adolf Grunbaum (Ulrich Muhl)… un Juif. Goebbels l’a secrètement transféré, lui et sa famille, du camp de concentration de Sachsenhausen à la Chancellerie du Reich. le temps est limité. Le Führer n’a que cinq jours pour se remettre complètement…
la revue
Le meilleur : du sel casher et un ton sarcastique
Scénario du pire : Conscience nerveuse mauvaise information.
Malgré les tentatives d’Antonio Mercero dans « Espérame en el cielo », le cinéma national n’a pas encore osé rompre la promesse d’une opérette clownesque pour notre grand petit dictateur Francisco Franco Taboo. Bien sûr, notre cinéaste le plus bizarre pourrait voler la bite d’Hitler ou le rendre plus important que M. Demelas dans la vengeance d’aujourd’hui Gonada. C’est pourquoi le frisson enviable, les Allemands, toujours sur la défensive dans la mémoire historique du national-socialisme, ont présenté l’absurde et sanguinaire Adolf comme un enfantin, déséquilibré, finalement sympathique, avec une certaine farce calculée, mais accompagnée de plus grands moments d’exagération Comédie teutonique et moments reconnaissants de mauvais goût (le strip-tease physiologique du Führer bourdonnant). Une sitcom moderne qui se fait parfois aux dépens d’un dangereux leader errant (caractérisation hitlérienne et structure basée sur des gags isolés), le film n’hésite pas à abandonner les bandes dessinées caustiques dans le domaine de l’information. L’humour, l’humour centreuropéen et ludique cède la place aux fables : Michael Herbig préfère se placer sur le mode contrasté mais insurmontable de Chaplin. Charlotte, cependant, a attaqué Hitler en 1940, l’humanisant par le rire, et Levi a été encore plus horrifié lorsqu’il l’a fait en 2007. Peur qu’il/ses monstres sympathisent avec nous et finissent vulnérables (enfin obligés de coexister avec les maudits juifs) et que ses films ne livrent que du mauvais lait et des parodies tonitruantes. Heureusement, Danny Levy n’a pas été minimisé par le dangereux massacre connu sous le nom de Roberto Benigni. Ces cinq jours avec le tyran de son professeur juif condamné ont été très chouette, surtout pour la société allemande. Au-delà des blagues folles et de la poésie de Chaplin (ou de Rod Serling), « Mon Führer » représente un remède dangereux pour tous les publics.
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