bienvenue au Brésil
direction: Patrick Moulin
distribuer: Margot Banseyhorn, Alison Wheeler, Philippine Stindl, Vanessa Gad, Patrick Miller, Chico Diaz, Kristen Sheedy
Titre en VO : aller au brésil
Pays de citoyenneté: La France an: 2016 Date de sortie: 27-07-2018 point final: 94 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Patrick Moulin
sommaire: Trois amies d’enfance : Chloé (Margot Bansilhong), Agate (Alison Wheeler) et sa soeur Lily (Standal, Philippines) à Rio de Janeiro pour le mariage de son amie Katia (Vanessa Guide). Là, ils subiront une tentative de viol qui se soldera par la mort de leur agresseur et une course-poursuite effrénée. Une surprise les attend lorsqu’ils rencontrent la mariée, qui leur montre des photos de son fiancé.
la revue
Le meilleur : des torrents d’éléments parodiques
Pire : Légers moments de réflexion
Bienvenue au Brésil a deux ligues : un téléfilm tendu mettant en scène la France et des copines salopes en attente d’une punition brutale ; et une comédie américaine sauvage et absurde. Le résultat est un film kitsch qui vous captivera dès la première minute.
Il y a des personnages mineurs dignes de la série Cohen (comme le consul de France au Brésil), une inertie maladroite envers la rédemption féministe comme « Selma et Louise », et des sous-intrigues familiales redondantes de souffrance et d’adolescence. Pour aggraver les choses, la fin se déchaîne lorsque seul Tony Montana est sur le plateau, dans ce qui semble être un hommage à « Death Proof ».
Tous ces collages (si vous voulez en savoir plus) sont « Bienvenue au Brésil », mais il faut reconnaître qu’il ne s’agit en aucun cas d’un collage frustrant. Au lieu de cela, les cocktails élémentaires explosifs dégagent une énorme quantité de comédie. À aucun moment, la parodie ne se brise ou ne cède la place à un ton opiniâtre.
En d’autres termes, le contenu a été développé sans ambition : il n’était pas destiné à raconter des amitiés indéfectibles ou à imposer un regard féministe (il ne le pouvait pas non plus). C’est un film intelligent parce qu’il est simple et n’aspire pas à être un produit, ce n’est pas le cas. Patrick Miller esquisse son propre road movie, suffisant et vulgaire. Et, sans aucun doute, ce manque de sérieux sans vergogne est ce qui le fait marquer.
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