arbre de sang
pellicule de diamant
direction: Julio Medham
distribuer: Ursula Corbero, Alvaro Cervantes, Najiva Nimri, Patricia Lopez Arniz, Daniel Grau, Joaquin Freer, Maria Molins
Titre en VO : arbre de sang
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2018 Date de sortie: 31-10-2018 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Julio Medham la photographie: Noriko de l’homme riche
sommaire: Marc (Álvaro Cervantes) et Rebecca (Úrsula Corberó) sont un jeune couple qui se rend dans une ancienne ferme basque appartenant à leur famille. Là, ils écriront une histoire commune des racines familiales, créant un grand arbre généalogique où les relations d’amour, de chagrin, de sexe, de folie, de jalousie et d’infidélité sont à l’abri, et au sein de laquelle se cache également une histoire pleine de secrets et de tragédie.
Le meilleur : Ses incroyables talents de narrateur.
Le pire : il oscille plus que jamais entre l’absurde et le sublime.
On peut considérer The Tree of Blood comme la « chanson la plus chaude » de Julio Medem. Presque tous les éléments qui ont imprégné son film et son imagination depuis ses débuts mythologiques Vacas sont présents dans sa dernière œuvre : relations entrelacées entre les personnages, paradoxes et fuites dans le temps et l’espace, liens avec la nature et les animaux, les petites histoires sont incluses dans des œuvres plus vastes qui finissent par se rejoignent et acquièrent leur sens final, et bien sûr sa capacité particulière à transformer la réalité en un domaine entre fantaisie et poésie visuelle. Seul Maiden peut reproduire Maiden, et il le fait avec toutes les conséquences, sautant sans filet pour nous emmener aux extrêmes de son univers narratif.
Dans L’Arbre de sang, on retrouve des membres de la mafia russe, des chanteurs punk schizophrènes, des gigolos, des marchands d’orgues et des écrivains torturés. Aussi diverse que les liens tordus établis entre les personnages, la faune nous guide à travers les racines vénéneuses d’un arbre généalogique marqué par la folie, l’instinct de mort et la passion terrestre, les trois forces motrices qui poussent les récits aux extrêmes de leur luxe le plus pur.
Comme le protagoniste du film, Medham semble aussi vouloir explorer ses racines, l’origine de tout, et revendiquer son identité de cinéaste. Probablement parce que quelque chose s’est perdu dans le processus, il s’est surmené pour arriver au but final, mais on retrouve dans ses films une liberté presque kamikaze, en termes de narration, laissant l’imagination se déchaîner dans le torrent. la créativité.
En tant que tel, The Tree of Blood est à la fois exagéré et puissant pour atteindre une singularité presque symptomatique d’une résistance en ces temps d’homogénéité. Contrairement aux préfabriqués carrés et biseautés, le réalisateur nous propose une œuvre dans laquelle la créativité fait partie de sa propre raison d’être. Comme toujours, pour le meilleur ou pour le pire, Medem est réitéré comme Medem. Il y aura des gens qui se laisseront attirer par leur monde et penseront que leur charabia est un symptôme de delirium tremens.
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