désolé je veux t’épouser
direction: Federico Moka
distribuer: Raoul Bova, Michela Quatrociocche, Luca Angeletti
Titre en VO : Scusa ma ti voglio esposare
Pays de citoyenneté: Italie an: 2010 date de sortie: 20/04/2011 période: 106 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Federico Mocia, Chiara Bazzini, Luca Infascelli la photographie: Marcelo Montalci
résumé: L’amour entre Alex (Raoul Bois), publicitaire d’âge moyen à succès, et Nikki (Michela Quatrociocchi), la vingtaine, s’approfondit chaque jour. Cela fait trois ans qu’ils se sont promis de s’aimer pour toujours. Malgré la différence d’âge, Alex croit fermement que Nicky est la femme qu’il veut épouser. Au début, Niki était également satisfaite de l’idée. Mais à mesure que la date du mariage approche, des doutes, des peurs et même des tentations surgissent. Jusqu’à ce que, tout d’un coup, Niki fasse quelque chose d’incroyable…
critiquer
Le meilleur : les anciennes groupies de maman.
Le pire : trop cool !
En fin de compte, Federico Moccia finit par être avalé et gouverné par Federico Moccia. J’espère que la bonne première partie de cette chronique sentimentale entre le trentenaire sceptique et le bon alignement de la première partie de l’adolescente romantique très lucide (un peu conservatrice), bien que calculée à la hâte, sera dans la lignée de la comédie générationnelle. level con cuore… a disparu. Les vertus du père (Pipollo, le père de Mosiah), apparaissant dans un bras de fer entre Ornella Muti et Adriano Serentano dans les années 70, dans la suite sans Anges leur Absence est évidente. Oui, le protagoniste continue de dégager une philosophie un peu hilarante avec les sous-intrigues de parents hippies ou de groupies uniques. Juste une copie trop douce d’un modèle de comédie romantique hollywoodienne, « Je suis désolé, mais je veux t’épouser » trahit sa fraîcheur initiale juste pour une histoire d’amour périmée, des revers et des obstacles si périmés qu’ils ne le seront pas Exaspérer cette critique est trop. Réunion de famille (la trilogie des parents de Ben Stiller et De Niro, mais pas de slapstick), Friends (l’une des sous-histoires, des histoires séparées, je l’avoue, fonctionne très bien), Friends and Ordinary, pas de rythme ni d’émotion, jusqu’à ce que la fin prévisible d’Ibiza soit gaspillé. C’est la pagaille, mais s’il y a une troisième partie (grossesse, bébés…, vous vous en doutez), je donnerais une chance à Moccia, si ce n’était pas Moccia.
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