pendant une tempête
Warner Bros.
direction: Oréo Paul
distribuer: Adriana Ugarte, Javier Gutierrez, Chino Darling, Alvaro Molte, Mikel Fernandez, Nora Navas, Mima Riera
Titre en VO : pendant une tempête
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2018 date de sortie: 30-11-2018 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Oriol Paul, Laura Sendim la photographie: Harvey Jiménez
résumé: Une mystérieuse perturbation entre les deux permet à l’heureuse mère mariée Vera de sauver la vie du garçon qui vivait dans sa maison il y a 25 ans. Mais les conséquences de ses bonnes actions déclenchent une réaction en chaîne qui le réveille dans une nouvelle réalité où une fille n’est jamais née…
Le plus : Il ne confond pas efficace et sensationnel.
Pire encore : le rebondissement final est toujours aussi important.
Oriol Paulo aime jouer avec les tenants et les aboutissants d’un thriller, avec ses mécanismes d’intrigue complexes et ses rebondissements inattendus. C’est un réalisateur très précis et méticuleux, mais ses films sont trop rigides sur un scénario qui finit par être la vedette de la série. El cuerpo (2012) et Contratiempo (2016) sont des exercices stylistiques trop fermés et sombres dans lesquels les mystères sont subordonnés à des exercices de dissection narrative complexes et parfois vides.
Cela ne s’est pas produit dans son film le plus mature et le plus personnel, In the Tempest. Aussi le plus complexe en termes de structure, labyrinthique et millimétré parfait, dans lequel nous reproduisons le flirt des films de rêve en incluant le saut dans le temps des années quatre-vingt, à travers les éléments nostalgiques et la chaleur de l’écoute des yeux d’enfants à Cyndi Lauper et Transvision L’ancienne cassette de Vamp, et une présence plus hostile et stérile, divisée en deux réalités possibles comme des images miroir.
Cela peut sembler un engin compliqué, mais c’est très addictif entre les mains du réalisateur, qui connaît tous les moyens à sa disposition pour créer de la tension et du mystère, et construire une intrigue parfaite qui s’inspire du thriller et du suspense avec une touche surnaturelle. Dans ce cas, ce n’est pas l’ambition, le pouvoir ou la vengeance qui tirent les ficelles du personnage, mais l’amour d’une mère (l’incroyable Adriana Ugart) qui fera tout son possible pour reconquérir l’amour de sa fille, même si elle a dû changer de cap. d’événements.
Dans La Tempête, Oriol Paul réitère sa maîtrise des paysages, mais cette fois il y a aussi un sens derrière ses images, quelque chose qui manque à ses films, pour qu’ils transcendent et divertissent à la fois. Le résultat est une réflexion passionnante sur les sacrifices que nous sommes prêts à faire (ou ceux que nous ne sommes pas prêts à faire) pour les choses valables qui nous mènent sur un chemin ou un autre dans la vie.
Ce contenu est créé et maintenu par des tiers et importé dans cette page pour aider les utilisateurs à fournir leurs adresses e-mail.Vous pouvez trouver plus d’informations à ce sujet et sur du contenu similaire sur piano.io