La chambre de Fermat
direction: Luis Piedrahita, Rodrigo Sopena
distribuer: Federico Luppi, Lluís Homar, Alejo Sauras, Elena Ballesteros et Santi Millán
Titre en VO : La chambre de Fermat
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2007 date de sortie: 12 novembre 2007 période: 90 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Luis Piedrahita, Rodrigo Sopena la photographie: Miguel Almodo musique: Federico Uside, Al Marty
résumé: Quatre mathématiciens (Alejo Sauras, Lluís Homar, Santi Millán et Elena Ballesteros) sont invités par un personnage mystérieux (Federico Luppi) à une conférence sur le cerveau au cours de laquelle un énorme mystère sera levé. Ils ont vite découvert que les réunions n’étaient qu’un prétexte pour mettre fin à leurs jours. Date de sortie : 16 novembre 2007.
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Peut-être est-il un jour où l’on dit que les romans complexes à mystères (mathématiques, histoire, culture) sont bien plus qu’une satiété ; pourtant, si l’on ne prête pas attention aux débuts de cette main, bien qu’elle n’échappe pas à la A l’ombre du phénomène, avoir bon goût ne sur-réagit pas sur sa propre importance et regarder des références (de The Trail, d’Anthony Shaffer à Agatha Christie) est plus respectable que l’omniprésent Dan Brown. Fermat’s Room enferme quatre esprits mathématiques dans un bâtiment sordide conçu par des méchants et parvient à éviter les dangers dramatiques imposés par le corset grâce à l’utilisation judicieuse de virages, de cascades et d’excursions légitimes à l’étranger. Les films de Luis Piedrahita et Rodrigo Sopeña comprennent le divertissement spontané, et semblent parfaitement comprendre que sous le chapeau haut de forme de MacGuffin, en général, il n’y a que de l’air (ou de la stratégie). Le résultat ressemble à une partie tendue de Cluedo jouée en une heure et demie, Sauras s’avère être un mathématicien modèle rockstar improbable, Millán convainc dans un registre fermé, et Luppi passe d’agité à fragile sans effort apparent En transition, Ballesteros procure une tension sexuelle inutile et Homar semble se plaire à évoquer une grande figure (du cinéma et du théâtre) dont il ne faut pas citer le nom.
Pour les amateurs de puzzle et de mathématiques.
le meilleur: Son admirable sens du divertissement.
le pire: Que vos puzzles soient un peu comme un manuel.
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