Promesse orientale
direction: David Cronenberg
distribuer: Viggo Mortensen, Naomi Watts, Vincent Cassel, Armin Mueller-Stahl, Sinead Cusack, Jerzy Skolimovsky
Titre en VO : Promesse orientale
Pays de citoyenneté: Canada, Royaume-Uni an: 2007 date de sortie: 01-10-2007 période: 100 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Steven Chevalier la photographie: Pierre Susitzky musique: Howard Shore
résumé: La violence n’est ni glamour ni belle dans les films de Cronenberg, elle l’est. Bien que caché et caché, son film exploite l’hypnose paradoxale qu’il exerce sur le spectateur, le forçant à goûter ce qu’il devrait détester. Il en va de même pour ses personnages, embourbés dans d’innombrables contradictions paranoïaques : à quoi ils ressemblent, ce qu’ils sont et ce qu’ils veulent être. Comme Tom Stoll (Viggo Mortensen), le protagoniste de A History of Violence (2005), bien qu’il soit lui-même un meurtrier né et un héros, il a une famille qui le craint et l’aime comme le dernier sauveur. Ou comme Nikolai Luzin (encore Mortensen) dans La Promesse de l’Est : un ancien prisonnier, dirigé par Semyon (Amin Muhammad) à la demande de l’une des plus grandes familles du crime organisé russe de Londres (Le-Stal) et son fils cruel commandé avec un Poing de fer. Kiril (Vincent Cassel). La pègre est ébranlée lorsque Luzhin rencontre Anna (Naomi Watts), une sage-femme également d’origine russe, qui tombe sur un complot qui pourrait mettre la famille en danger. Le thriller entre les mains de Cronenberg continue d’être considéré comme un genre, même si, comme tout son travail, il est traduit en films de réalisateur. Date de sortie : 5 octobre 2007. Galerie d’images
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Trois scènes sont suivies d’une violence aiguë et manifeste, et Cronenberg commence sans promesse orientale compliquée : il n’a pas besoin d’attendre ou de réserver le choc pour un moment d’étude. Pour les autres, gardez la ressource sous forme d’or dans le tissu, qu’il convertit dans la monnaie courante. Dans le sillage de A History of Violence, où il a atteint une dualité rare (en tant que lui-même et en tant qu’autres, étalant ses traits les plus distinctifs sous une nouvelle forme), Dongfang Promise confirme que la façon passionnante dont il gère les thrillers n’est pas un hasard. Maintenant, avec le scénario audacieux de Steven Knight et la mafia russe de Londres comme territoire d’investigation, il continue sur la même voie, et ce film n’est en aucun cas une continuation ou un exploit du précédent.
Mais la construction d’un autre personnage de fond avec Viggo Mortensen, le traitement des couleurs, le charisme de l’imagerie et le récit impeccable dans lequel chaque séquence semble être une partie essentielle de l’apogée sans fin, font que Eastern Promise confirme que Cronenberg est complet. Il crée le genre en ajoutant et en changeant les genres, et est capable d’inclure une séquence qui semble être tirée d’un mélodrame muet, ou de perturber des relations familiales douloureuses dans des tensions qui ne nécessitent pas d’adrénaline. Mortensen a fait preuve d’une ténacité mélancolique sans pareille, et Watts, Cassel et Mueller-Stahl ont été à la hauteur.
Pour les amateurs de thrillers épisodiques.
le meilleur: bataille féroce.
le pire: Considéré comme la continuité d’activité de Cronenberg
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