007 Confort quantique
direction: Marc Foster
distribuer: Daniel Craig, Matthew Amalric, Judi Dench, Olga Kurylenko, Gemma Arterton, Giancarlo Giannini, Jesper Christensen, Neil Jackson, Fernando Gillen Culver, Jeffrey Wright
Titre en VO : Quantum de réconfort
Pays de citoyenneté: utiliser an: Année 2008 date de sortie: 21 novembre 2008 période: 106 le sexe: action Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Neil PurvisRobert WadePaul Haggis la photographie: Robert Shaffer musique: David Arnold
résumé: 007 (Daniel Craig) et M (Judi Dench) interrogent M. White (Jasper Christensen) après avoir perdu la femme qu’il aime, Vespa. L’enquête suivra les traces de l’homme d’affaires maussade Dominic Green (Mathieu Amalric) en amenant Bond d’Italie en Amérique du Sud. Dans sa quête de vengeance, Bond va se lier avec Camille (Olga Kurylenko), une belle et dangereuse femme qui poursuit sa vendetta.
critiquer
Le meilleur : Le moment « Tosca ».
Le pire de tout : Parfois, il semble être guidé par l’inertie.
James Bond, l’une des icônes les plus durables de la culture pop du XXe siècle, a connu son renouveau cinématographique avec Casino Royale (2006), qui visait à mettre en lumière quelque chose qui manquait à son canon celluloïd : son rôle de Le mythe du statut des personnages tragiques. L’impeccable 007 expose ses os brisés et est capable de fournir la base de sa misogynie et de sa violence à sens unique. En d’autres termes, les créatures de Ian Fleming, faisant appel à leurs sources littéraires pour se réajuster aux besoins de l’époque, exigent non seulement de remettre à plat leurs mythes mais aussi de les surinterpréter.
Quantum of Solace est un épilogue accéléré de Casino Royale, mettant en évidence ce que ses prédécesseurs ont déjà souligné : le Bond auparavant inégalé est fissuré non seulement dans l’âme, mais aussi dans l’emballage. Ses aventures, qui avaient auparavant créé une mode, défilent désormais sous le nuage d’un complexe d’infériorité face à la légende Bourne. Mis à part la frustration de voir un mythe sublime imiter le héros sans âme d’une époque sans identité, le film de Foster propose un ensemble d’action qui ne se démarque qu’à des moments précis – le conclave de la performance complète de « Tosca » – – mais il réitère que Daniel Craig est un monstre féroce avec une masculinité mourante.
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