innocence interrompue
direction: James Mangold
distribuer: Angelina Jolie, Brittany Murphy, Vanessa Redgrave, Whoopi Goldberg, Winona Ryder, Jared Leto, Jeffrey Tan Bol, Clea Duvall
Titre en VO : fille interrompue
Pays de citoyenneté: utiliser an: 1999 période: 127 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: L. Lumer, James Mangold, Anna Hamilton Phelan la photographie: Jack Vert musique: Michel Danner
résumé: Lorsque la jeune Suzanne Kaysen (Winona Ryder) va voir un psychiatre après avoir pris une bouteille d’aspirine pour soigner un simple mal de tête, elle ne s’attend pas à ce que quelque chose change complètement sa vie. En 1967, la jeune femme est admise à l’asile de Claymore après avoir reçu un diagnostic de trouble de la personnalité borderline tout au long de sa vie. À Claymore, où sont détenus divers jeunes atteints de troubles mentaux, Susannah rencontre un groupe de filles qui deviennent ses meilleures amies et, mieux encore, lui apprennent à se faire une place dans le monde. Pendant deux ans, Susannah a partagé sa vie avec Lisa (Angelina Jolie), Daisy (Brittany Murphy) et Polly (Elisabeth Moss) qui adorent enfreindre les règles. Ils ont tous les deux des problèmes avec les coutumes de la société des années 1960 et ne les acceptent pas, mais ils se comprennent et s’entraident. Avec l’aide de l’infirmière Valérie (Whoppi Goldberg) et de ses amis, Susannah parvient enfin à se retrouver.
critiquer
Alors que le XXe siècle nous a complètement abandonnés, le cinéma américain semble avoir décidé de porter un regard concluant sur toutes les expériences marquantes des dernières décennies. C’est The Interrupted Girl qui, malgré son apparence de mélodrame psychotique pour adolescents, est en fait une métaphore (évidente, mais efficace) des rythmes, des idéaux et des changements de paradigme nord-américains (et dans le monde occidental). ) des folles années 60 aux froides années 90. Copie négative de « Flying Over the Cuckoo’s Nest », qui à l’époque était de l’utopisme libéral, un chant de défi (manichéisme banal) et une critique du pouvoir et de l’autorité établis, ici c’est sage obéissance, acceptation de la réalité, engagement personnel. En un mot, survivre. Alors que Nicholson a été brutalement aboli à la manière de 1984, dans le film de Foreman, Winona est ici stabilisée, laissée, enfermée et en train de se réhabiliter, elle Le côté sauvage, représentée par la géante Angelina Jolie. Personnellement, je pense que c’est génial. Winona était dans un hôpital psychiatrique dans les années 60 (désolé). C’était les années 70 quand elle est sortie (la projection était en fait les années 90). Le monde a changé, et pas complètement pour le pire. Par exemple, je préfère la sensuelle et grincheuse Angelina Jolie pour jouer le rôle théâtral tout aussi rebelle de Jack Nicholson. La raison est évidente. Et, bon sang, comme cela s’est produit dans « American Beauty », « Any Given Sunday », « Ice Storm » et bien d’autres films très différents (mais essentiellement américains) ces derniers temps, le résultat est un beau film, sexy, sympa. Oui, il y a des suicides, des dépressions, des tragédies intimes… mais surtout les jolies filles, la musique, le rythme et l’esthétique (y compris la bataille finale du bien et du mal, dans le sous-sol d’un hôpital psychiatrique, de purs « cris » ). Au final, pas grave et pas d’excès. Tout est trop parfait et faux. Autrement dit, de bons films américains. La meilleure : Angélina. Le pire de tout : l’air d’un téléfilm.
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