Tristan et Isser (2006)
direction: Kévin Reynolds
distribuer: James Franco, Sophia Myers, Rufus Sewell, David Patrick O’Hara, Dexter Fletcher, Brona Gallagher, Isabelle S. Kurt Moynihan, Henry Cavill
Titre en VO : Tristan et Iseult
Pays de citoyenneté: Allemagne, Royaume-Uni, République tchèque an: année 2006 date de sortie: 03-10-2006 période: 125 le sexe: aventure Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Doyenne Georgia Rees la photographie: Arthur Reinhardt musique: Anne Dudley
résumé: Tristan (James Franco) est le chevalier le plus courageux de Lord Mark (Rufus Sewell), l’un des chefs militaires britanniques, désireux d’acquérir un pays assez fort pour unir une nation (nous venons d’être à Rome). ) au trône. Abandonné après une bataille, Tristan est secouru par Isol (Sofia Myers), la belle fille de l’ambitieux roi irlandais Don Chard (David O’Hara).Date de sortie : 10 mars 2006
critiquer
J’ai toujours sympathisé avec Kevin Reynolds. Même travailler avec (ou pour) Kevin Costner. En regardant son Tristan et Isolde, je comprends tout à fait pourquoi : il allie un sens esthétique rigoureux à un traitement libéral (mais pas libéral) de ses récits, les modernisant de manière cohérente, tout en gardant un regard archéologique et quasi anthropologique, digne des historiens. Il a un air tragique épique qui, dans le style ancien sans recourir à la fanfare de Peter Jackson, fonctionne mieux et capture efficacement les légendes épiques et les classiques L’émotion brute d’une histoire d’aventure. Tout cela dans cette digne recréation de l’une des plus grandes légendes tragiques de tous les temps. suit fidèlement l’ancienne histoire d’origine celtique d’une manière intelligente (probablement inspirée de Diarmuid et Grainne, plus tard également transformée en l’histoire de Lancelot et Guenièvre), mais modifie suffisamment d’éléments pour que les sages n’aillent pas trop loin, Reynolds raconte ce triangle d’amour, d’honneur et de mort aussi entremêlés que la frontière irlandaise au Moyen Âge, et il fera monter les larmes aux yeux du public qui ne se souvient même pas de Wagner, car la mémoire humaine ressemble à celle des poissons. Mêlant des portraits sombres et sauvages du Haut Moyen Âge à des protagonistes si beaux qu’on en pleurerait rien qu’à les regarder, Reynolds triomphe : il nous offre un délicieux voyage médiéval à travers l’amour et la mort qui peut satisfaire tout le monde : Request Academics…and their copines. Il est peut-être temps de réévaluer le Rapa Nui oublié.Pour le romantique intelligent. le meilleur: Simplicité brutale. le pire: Une bande son sans personnalité.
Ce contenu est créé et maintenu par des tiers et importé dans cette page pour aider les utilisateurs à fournir leurs adresses e-mail.Vous pouvez trouver plus d’informations à ce sujet et sur du contenu similaire sur piano.io