Paco Polge et son empreinte dans le documentaire
« C’est un mélange de rigueur, de capacité de travail, de connaissances culturelles, de réalisme de travail sans ignorer les principaux besoins de gestion et la capacité aux acheteurs potentiels, aux festivals et à la scène internationale, le tout sous la simple apparence d’un saint distrait »C’est ainsi que le critique de cinéma et historien Manuel Pérez Estremera définit un producteur Paco Polgé (Igualada, 1951), un livre qui vient de paraître dans sa carrière « Paco Polge.A propos de sa réalisation documentaire et de sa rétrospective au 21ème Festival de Toulouse, écrit par la réalisatrice et journaliste Gabriela Zea Nadal. En 2016, le Festival Cinespaña a rendu un hommage bien mérité à Poch, et toutes les réflexions sur cette conférence ont été compilées par l’auteur. En plus de documenter le festival, Zea Nadal a également interviewé des cinéastes qui ont travaillé avec Poch tels que José Luis Guerin (« Innisfree »), Isaki Lacuesta (« Cravan vs. Cravan », « Legend of Time », « Between Two Waters ») ” ) et Lluís Galter (‘Caracremada’). L’un des derniers documentaires produits par Poch est « Can You Hear My Voice? » (2020), Pedro Ballesteros, statue du sculpteur Jaume Plensa.
Zea Nadal en a profité pour s’entretenir avec Jordi Balló, l’un des architectes du Master de documentaire de création de l’Université Pompeu Fabra, et Patrick Bernabé, directeur du Festival du film Cinespaña à Toulouse. Le prologue est signé par Manuel Pérez Estremera et l’épilogue est signé par le cinéaste Pere Portabella, réalisateur de films tels que « Le Vampire – Cuadecuc » (1971) ou « Umbracle » (1972), et « Los golfos » (Carlos) Saura , 1960), « La poussette » (Marco Ferreri, 1960) ou « Viridiana » (Luis Buñuel, 1961). Portabella décrit Paco Poch comme « un homme qui a et prend beaucoup de temps » et met en avant son « expérience professionnelle accumulée et mature, dégageant la sensibilité, la responsabilité et l’engagement qui définissent une image solide ».
Édité en espagnol et catalan par EPAC (Escola de Producció Audiovisual de Catalunya), « Paco Poch. Plein d’anecdotes de tournage sur sa réalisation documentaire et sa rétrospective au 21e Festival de Toulouse ainsi que des commentaires et suggestions pour le monde de la production. Poch est titulaire d’un doctorat en communication audiovisuelle de l’Université Pompeu Fabra. Il a travaillé comme photographe culturel et directeur de production. Il a coproduit des œuvres telles que L’Affaire Pinochet de Patricio Guzmán (2001) et l’Affaire Ben Bacca de Serge Le Péron (2005) et d’autres films. Il est directeur du Master Production et Distribution de Films EPAC/ECIB/Mediapro/UVIC. Produit avec Mallerich Films et distribué avec Paco Poch Cinema. Distributeur agité, il fait venir Bella Tal (« Cheval de Turin »), Valeria Bruni Tedeschi (« Château italien »), Mia · Hansen Love (« Un amour de jeunesse », « Le père ») film de mes enfants’) ou Pedro Costa (« Ne change rien »).
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