Leo
direction: Joseph Louis Borau
distribuer: Iciar Bollain, Javier Batanero, Luis Tosar, Rosana Pastor, Charo Soriano
Titre en VO : Leo
Pays de citoyenneté: Espagne, Espagne an: 2000 période: 86 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Joseph Louis Borau la photographie: Thomas Pradwal musique: Álvaro de Cardenas
résumé: Un lanceur d’alerte de la police Leo (Icíar Bollaín) débarque dans une zone industrielle de banlieue et, avec l’aide d’un vigile (le nouveau venu Javier Batanero), s’infiltre dans un atelier de couture pour ouvriers roumains, drogué en première ligne de la transaction. Il tombe amoureux d’elle et est fasciné par ses plans pour venger sa mère décédée (Charo Soriano). Le passé de la protagoniste est marqué par un ancien maître d’arts martiaux (Hrevinsky) avec qui elle a eu une relation d’enfance.
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Dès la première scène, rien ne se passe dans « Leo ». Bouleversés par un passé inéluctable ou poussés par une passion qui les oblige à s’écarter de leur quotidien, les personnages du dernier film de José Luis Borau dévoilent les recoins les plus cachés de l’esprit humain. Une coïncidence s’est produite entre une fille ramassant du carton dans les rues d’une zone industrielle et un agent de sécurité patrouillant dans la zone, mais de cette rencontre fortuite, le destin a tiré les ficelles de ces petites personnes désespérées. En même temps, soyez ambitieux. Pourtant, leurs destins sont écrits dans leurs propres trajectoires, dans leur désir de transcender toutes les règles et d’entrer dans un monde au-delà de la réalité, coincés dans les couloirs du métro ou dansant sans musique. Fritz Lang joue le jeu avec vengeance, culpabilité ou trahison, et le personnage de « Léo » évite toute identification possible du public. Dès le début du film, ils sont pris ou laissés tels quels, mais dans le premier cas, il faut être expérimenté et les accompagner attentivement dans un voyage qui ne bouge pas. Un script impeccablement scénarisé dans lequel l’action se déplace dans le temps sans recourir à des flashbacks, le plan est résolument sobre, plein de détails subtils significatifs qui balisent le chemin qu’impose Borau. Le voyage était ardu et douloureux, car il n’y avait jamais rien de superflu, et il n’y avait pas une once d’optimisme dans l’univers du nihilisme destructeur. Le travail de l’actrice est magnifique. Il convient également de noter les contributions de Luis Tosar et du nouveau venu Javier Batanero, mais ce n’est pas un film qui repose entièrement sur les nuances psychologiques fournies par le casting. Bien qu’il joue avec des abstractions morales, presque philosophiques, Leo inclut également dans son protagoniste le béton d’un paysage apocalyptique en marge d’une ville habitée par des immigrés, des ateliers secrets, des handicapés mentaux et des exclus sociaux qui luttent pour survivre. Et, à partir de ce portrait inhabituel de la société, il est raisonnable de se demander si Leo est un film qui va à contre-courant du cinéma espagnol ou qui tourne le dos à la réalité qui l’entoure. >> N’oubliez pas que les films peuvent être presque aussi puissants que la vie. Le meilleur de tous : La logique impitoyable d’un jeu extérieur pervers. Pire : Ambiguïté inutile dans le dernier coup.
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