4 mois, 3 semaines, 2 jours
direction: Christian Mongy
distribuer: Anamaria Marinca, Laura Vasiliu, Vlad Ivanov, Alex Potocean
Titre en VO : 4 luni, 3 saptamini si 2 zile
Pays de citoyenneté: Roumanie an: 2007 date de sortie: 21-01-2008 période: 113 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Christian Mongy la photographie: Glow Géorgie
résumé: Il raconte l’odyssée de l’étudiante enceinte Gabita (Laura Vasiliu) qui cherche quelqu’un pour pratiquer un avortement pour elle. Son amie Otilia (Anamaria Marinca) la soutient jusqu’au bout, les emmène dans une chambre d’hôtel bon marché et remet Gabita à M. Bebe (Vlad Ivanov), un homme sans scrupules qui n’hésitera pas à profiter d’elle. Travail. Date de sortie : 25 janvier 2008.
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Le thème du film est le droit à l’avortement. Mais rester seul dans cette affirmation réduirait l’importance de ce film choquant et captivant. L’avortement est en fait le MacGuffin du véritable thème du film : la peur. La peur qui sent et sent sur la peau est palpable. Cette peur vous fait vous sentir comme un rat piégé dans un piège sans air pour respirer. Peur du regard des autres, de quiconque vous condamne, vous exploite, vous juge. Peur physique qui vous paralyse en présence de sa puissance. Otilia et Gabita vivent cette peur de différentes manières. Gabita est enceinte et Otilia l’aide à faire une fausse couche. Gabita est passive, Otilia est active. C’est Otilia qui a résolu le problème. Mais lorsqu’elle doit faire face à l’humiliation, la peur la paralyse. Le cadre du Bucarest le plus sinistre des années 80 n’est pas un hasard. Les vampires sont partout, surtout dans la Roumanie de Ceausescu. Mungiu s’est associé à une brillante actrice, Anamaria Marinca (Otilia), pour réaliser un film mélodramatique qui aborde des moments d’humour noir qui vous prépare au pire et vous fait vous sentir vraiment tragique Ne pas mourir d’un avortement raté, mais vivre dans les conditions ces deux jeunes femmes devaient vivre.
Pour les amateurs d’histoires sans concession.
le meilleur: Un portrait de l’atmosphère de Bucarest dans les années quatre-vingt.
le pire: Il a fallu si longtemps pour poster.
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