roi de la havane
Agustí Villaronga avec Maykol David Tortoló, réalisateur et protagoniste du film.
direction: Augustin Villalonga
distribuer: Maikol David Tortolo, Yordanka Ariosa, Hector Medina, Ileana Wilson, Chanel Terrero
Titre en VO : roi de la havane
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2015 date de sortie: 16/10/2015 période: 120 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Augustin Villalonga la photographie: Josep Maria Sivert musique: Jeanne Valentin
résumé: La Havane dans les années 1990 était au milieu d’une période particulière qui a exacerbé la crise du peuple cubain. Reynaldo (Michael David Totolo) tente d’échapper à la misère avec deux complices : Magda (Jordan Caarriosa) et Eunice Reddy (Hector Medina), une transgenre qui rêve de quitter l’île.
critiquer
Le plus : L’apparition (et la découverte) d’Héctor Medina.
Pire encore : le public n’entre pas dans le code humoristique avec lequel il traite.
Béatrice Martinez est d’accord.
Les films d’Agustí Villaronga sont construits autour d’un ensemble de traits qui façonnent une grande partie de l’essence de son univers inquiétant : La dichotomie entre bien/mal, innocence/perversion, la haine génératrice de violence et la création de monstres dans les sociétés autoritairesTous ces marqueurs identitaires, et sa capacité à créer une atmosphère malsaine et malsaine, réapparaissent dans « El Rey de La Habana », mais sous un angle jamais vu dans sa carrière, à travers un humour noir associé aux idiosyncrasies cubaines. Le roi de La Havane est fait de sexe et de saleté. Itinérance et pauvreté morale. Il a un pouvoir intérieur destructeur et destructeur qui nous hante et nous émeut. C’est le retour émouvant et insaisissable d’un réalisateur qui redéploie toute sa poésie d’horreur d’une main de maître.
Contre Pereval.
Les films d’Agustí Villaronga traitent de la répression, du sexe, de la torture physique et psychologique, de la faim, du flirt avec le côté obscur de l’existence… si surprenant (et frustrant), d’après Pedro Juan Gutierrez Le roman de Juan Gutiérrez est si peu attrayant, auteur de Pa negre ( 2010). Le cadre et les personnages sont parfaits. Qu’est ce qui ne s’est pas bien passé?Peut-être que l’humour a été introduit dans ce conte de sans-abri et le travail de VillalongaC’est peut-être le manque de cohérence dans les personnages principaux (en tant qu’acteurs et personnages).Il a fait de son mieux pour réparer une faille fatale, non seulement avec sa partenaire habituelle (Jordanka Ariosa), mais La découverte s’appelle Héctor Medina, qui capture les meilleurs moments du film avec la peau et l’apparence de YunisleidiEt voilà, après un début accablant (y compris l’animation), ce qui suit est un portrait décevant et décevant d’un Cuba sale, volé et englouti.
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