Katmandou, un miroir dans le ciel
direction: Ichaël Bolian
distribuer: Véronique Echegui
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2011 date de sortie: 03-02-2012 période: 104 Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Ichaël Bolian
résumé: Au début des années 1990, la jeune enseignante catalane Laia a déménagé à Katmandou pour travailler dans une école locale. Bientôt, il découvrira un panorama d’extrême pauvreté et d’éducation lamentable, tout en manquant ceux qui en ont le plus besoin. Après avoir légalisé sa situation contre son gré par un mariage de complaisance, Leia se lance dans un ambitieux projet d’éducation personnelle dans les bidonvilles de Katmandou. Bientôt, elle a été confrontée à la preuve qu’elle ne pouvait pas faire cela toute seule. Mais elle trouve aussi un beau cadeau auquel elle ne s’attendait pas : tomber amoureuse de son inconnu marié. Menée par son amie et jeune enseignante, Sharmila, Laia se lance dans un voyage qui l’emmène au plus profond de la société népalaise et au plus profond d’elle-même.
critiquer
The Best : Une puissante interprétation de Veronica Echegui.
Le pire : son éthique esthétique.
Rain (2010) est aussi une étude de cas : un film basé sur la culpabilité d’un cinéaste consciencieux qui se demande s’il n’est pas condescendant et paternaliste envers l’autre. Curieusement, l’image qui est finalement rachetée est celle de… le producteur (c’est-à-dire, pour parler en argent, l’employeur). Le paradoxe était si convaincant qu’à l’époque, on ne parlait pas beaucoup de l’une de ses excuses narratives : la privatisation de l’eau. Maintenant, un peu plus d’un an plus tard, il s’avère que vous n’avez pas à traverser les fuseaux horaires pour faire face à cela.
Basé sur l’expérience personnelle de l’enseignante de langue catalane Victòria Subirana, Katmandou, le miroir dans le ciel aborde également une question urgente : l’égalité d’accès à l’éducation. Porté par Verónica Echegui, le film délivre un message puissant et pertinent sur le pouvoir transformateur de la pédagogie (dans les deux sens), mais le regard d’Icíar Bollaín révèle enfin les symptômes du décalage horaire de la conscience idéale du touriste d’un monde globalisé : ce film Le film succombe à la photogénicité de l’exotisme et de la souffrance, et il serait apprécié que, dans l’expérience de son héroïne, les échos de quelqu’un menant le même enseignement et la même lutte civique ici et maintenant aient été brisés.
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