guerre des boutons
direction: Christophe Ballatier
distribuer: Guillaume Canet, Letitia Casta, Cade Maillard, Gérard Jagnot, François Morel, Marie Bournell, Louis Du Saul, Théophile Bacquet, Clément Goldfroy, Jean Texier
Titre en VO : nouvelle guerre des boutons
Pays de citoyenneté: France an: 2011 date de sortie: 11-11-2011 période: 100 le sexe: aventure, comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Christophe Ballatier, Thomas Longman
résumé: Alors que les événements horribles de la Seconde Guerre mondiale ont secoué la terre, une autre guerre se déroule dans un petit coin de la campagne française. Les garçons des villes voisines de Longeverne et Velrans se sont toujours détestés. Ils ne se battent pas pour une raison particulière. Ils ne veulent tout simplement pas voir leurs voisins près de chez eux. Au cours d’une de ces batailles, ambivalente mais large d’esprit, Lebrac, un garçon de 13 ans originaire de Longeverne, a eu une idée géniale : arracher tous les boutons des vêtements des captifs et les renvoyer chez eux à moitié nus, vaincus. , humilié. La guerre des boutons a été annoncée et le village qui récupère le plus de boutons sera déclaré vainqueur.
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Le plus : son caractère atypique.
Pire encore : sa nostalgie est un peu fausse.
Button Wars est l’une des deux adaptations (un hasard insolite et délirant) du roman éponyme de Louis Pergaard tourné en France cette année, et sa principale force est aussi son principal défaut. Réalisé par Christopher Ballatier, il a le même ton (sensation douce-amère, mais gracieuse et ostensible) et la même intention (décrite à partir d’une situation minuscule) que son précédent Les garçons Un moment historique et simplement parler de la condition humaine) du chœur ‘ (2004), la Bataille des Boutons exerce une fascination peu commune. Il a l’attrait de faire revivre le mode du cinéma pour enfants et ados (malgré son cadre adulte), avec ses formes réalistes, ses clips réfléchissants qui placent l’imaginaire au-dessus du fantasme, complètement abandonné.
Mais en même temps, c’est un film daté dans lequel il est difficile d’entrer, de se rattacher instinctivement à son histoire, au genre de ses décors, à ses personnages, sans le regarder de loin. Barratier confirme sa focalisation sur le personnage et revient sur les sentiments clairs et facilement détectables qui font la force émotionnelle de « Battle of the Buttons ». Mais il y a une distance conceptuelle et esthétique, et en étant trop prudents et ordonnés dans la recréation de ce vieux film, les cinéastes ont tendance à avoir une nostalgie un peu fausse.
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