berceuses
direction: Sébastien Silva
distribuer: Alejandro Goic, Marianne Loyola, Mercedes Villanueva, Anita Reeves, Sebastian LaRivera, Darlock Ole Lana, Augustin Silva, Andrea Garcia-Huidobro, Claudia Seledon, Catalina Saavedra
Titre en VO : berceuses
Pays de citoyenneté: le Chili an: 2009 date de sortie: 16/04/2010 période: 95 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Pedro Perano, Sébastien Silva la photographie: Serge Armstrong
résumé: Raquel, une femme introvertie aigre, a travaillé pendant 23 ans comme nounou pour les Valdez, une famille de la haute société. Son employeur Pilar a embauché une autre nounou pour l’aider. Raquel a senti que sa place dans la famille était en danger et a aliéné le nouveau venu avec des abus psychologiques cruels et puérils. L’histoire se répète encore et encore jusqu’à l’arrivée de Lucy, une joyeuse femme de province qui parvient à pénétrer la carapace de Raquel et à changer sa façon de voir la vie.
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Le meilleur : parler de social sans en parler
Le pire : certaines nuances culturelles nous échappent ici
Alors qu’on ne semble pas en avoir entendu parler ici, le cinéma chilien connaît depuis plusieurs années un printemps inhabituellement créatif, pouvant produire des films aussi brillants et mauvais que Tony Manero ou Alice dans les festivals de cinéma, oui. (similaire à La chacha), qui est primé partout où il va, et l’une des comédies dramatiques intelligentes les plus brillantes que nous ayons vues depuis longtemps. Le film de Sebastián Silva est raconté du point de vue privilégié d’une femme de chambre qui vit et travaille avec une famille de la classe moyenne/supérieure (c’est-à-dire qu’elle ne met généralement pas de caméra pour rendre compte de quoi que ce soit), tandis qu’en même temps Temps, un portrait d’une classe implacable (le réalisateur lui-même entre d’ailleurs dans cette catégorie : le film a été tourné dans la maison de son enfance) et le portrait d’un homme sombre, souvent sombre, solitaire et gêné.
Mais ce qui fait d’un film comme « Lanana » un phénomène de vacances stellaire, c’est le regard sournois, intelligent et satirique qu’il jette sur le matériau narratif, ce qui signifie que le réalisateur et les co-scénaristes se retrouvent avec un aperçu d’une netteté remarquable. Portrait d’un groupe social est une esquisse sombre mais en même temps émouvante d’une femme solitaire, jalouse et implacablement possessive.
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