Esprit : le cheval inflexible
direction: Kelly Asbury, Lorna Cook
distribuer: Matt Damon, Roger Pera, James Cromwell, Jordi Boixaderas, Daniel Study, Oscar Munoz
Titre en VO : Esprit : Étalon de Cimaron
Pays de citoyenneté: utiliser an: année 2002 date de sortie: 17-07-2002 période: 85 le sexe: dessin animé Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Jean Fusco musique: Hans Zimmer
résumé: Dans l’Ouest lointain et invaincu, un cheval sauvage, un esprit pur-sang, erre en liberté. Mais quelqu’un se dresse sur son chemin : l’un, un colonel de l’armée, le capture, avec l’intention d’en faire une simple monture ; l’autre, un jeune Indien emprisonné par des Blancs, veut lui rendre sa liberté.
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Comme Disney, la division animation de DreamWorks fait l’objet d’une enquête, bien que les conclusions dans ce cas aient un effet secondaire ennuyeux : les films d’animation DreamWorks ont tendance à sentir les projets dans l’esprit des producteurs, pas dans le cœur des artistes. Et, dans ce cas, Jerry Katzenberg transcende la distance infranchissable entre ce qu’il pense que le public attend et ce qu’il veut vraiment voir. Spirit, de par son mélange fonctionnel (et laid) de technologie traditionnelle et d’animation numérique, que Katzenberg définit effrontément comme de l’animation tradigitale, est un produit absurdement conscient de sa gravité et de son importance : un western écologiste, Ses protagonistes animaux ne sont pas doués du don d’imagerie non-parlante, anthropomorphique, voire de contrepoint comique ; un produit d’une qualité assumée et d’un lyrisme assumé, en version originale, avec la voix off de Matt Damon et les critiques musicales Unknown de Brian Adams. Vraisemblablement, cette chose est passée d’une ode à l’individualisme et à une sorte de pureté américaine de base précisément lorsque l’Occident a été conquis par les ancêtres probables des exécuteurs testamentaires de cet excès de bonbons, piégés dans un paysage de cadres latéraux et pratiques, ils peuvent décorer un thème restaurant du ranch. Voici donc le concept malheureux : un Juan Salvador Gaviota pour échidné. Son esthétique suit le canon DreamWorks sans âme, et son exécution (probablement hâtive) crée la couture qui sépare le tra de la performance digi. Est-il possible d’imaginer la dernière chose que nous voulons voir ? Oui : la même, mais la même que la chanson Bryan Adams de Raúl, comme la version dub. Un dernier avertissement aux chasseurs de kitsch : libellules et nénuphars convergent dans une scène romantique, esdrújulas prend le kitsch animé que l’on croyait mort. >> Pour ceux qui veulent finir par détester les chevaux. Le plus : son ouverture. Le pire : elle a une haute opinion d’elle-même.
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