un bon coeur
direction: Dagurkari
distribuer: Brian Cox, Paul Dano, Isild Le Besco
Titre en VO : bon cœur
Pays de citoyenneté: Allemagne, Danemark, France, Islande an: 2009 date de sortie: 02-06-2010 période: 95 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Dagurkari la photographie: Rasmus Widbeck
résumé: Lucas (Paul Dano) est un jeune homme au bon cœur qui vit dans un carton sous le pont de Brooklyn. Sans avenir, il tente de se suicider, mais sa tentative échoue, comme tout ce qu’il a tenté dans sa vie… Pendant sa convalescence à l’hôpital, il doit vivre avec Jacques (Brian Cox) dans une chambre), un propriétaire grincheux. D’un bar, grincheux, mode de vie malsain, vient d’avoir une cinquième crise cardiaque.
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Le meilleur : Dano et Cox forment un couple étrange.
Pire que tout : face à un optimisme léger, il a renoncé à sa misogynie.
Si Samuel Beckett et IAL Diamond sortaient prendre quelques bières, et qu’au moment de payer la tournée, ils avaient une liaison avec Kusturica et Olmi (More Drunk Than Metaphysics) avaient un « sinpa » ensemble et ne doutaient pas qu’ils choisiraient Brian Cox’s Bistro dans « La Gentillesse ». Romantique et misogynie (mais finalement aussi tendre que votre amour-suicide de 20 ans), cette célébration de l’anarchie et de la retenue est un outsider/paria à la modernité, urbaine et serviable, taillée dans la bakélite du bar, est un monument à le bon vieux temps de la rébellion à chaque tour et chaque personnage farfelu. Avec un sens presque chaplinien de l’absurdité d’Europe centrale, A Kind Heart parle des parias (principalement des femmes exclues des locaux, mais aussi par la société), où la solidarité, l’amitié et les hypothèses de filiation ne peuvent pas être exemptes de traumatismes, et parfois hilarantes. , tir à la corde. Le jeune apprenti clochard de Werther et le vieux barman clochard moustachu (narrateur stoïque et cynique de Sweet Emma) s’enseignent mutuellement des leçons de vie en buvant, défendent d’autres Américains insomniaques mais avec la gueule de bois, et occasionnellement Hiccup, babillent sur les dieux et les hommes ou passent à ce que Boudou de Jean -Renoir dit à Mickey Rourke dans L’ivrogne. L’histoire minimale du film sur ce que signifie avoir un bon cœur (et un foie blindé) est aussi relaxante dans sa simplicité que sa sophistication émotionnelle, tout en clignotant à l’indépendance des Yankees (ou de l’indépendance européenne). Quelque chose a été produit, mais pas la grandeur qui a changé l’empathie des supplications alcooliques au dernier refuge des êtres aimables, tristes, heureux et aimés : un bar à toasts pour le recyclage des sans-abri traditionnels.
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