Critique de The Mist and the Maiden, adapté du livre de Lorenzo Silva
Critique de « La brume et la jeune fille », adaptée du livre de Lorenzo Silva, réalisé par Andres M. Coppel, par Ola Garrido, Quim Gutierrez et Vero avec Nika Echegui. En salles à partir du 1er septembre.
Qu’attendez-vous d’un bon film policier ? C’est bien mis en place et bien résolu. S’il vous donne ces deux choses, vous pouvez pardonner presque tout le reste, n’est-ce pas ? brouillard et jeune fille Il tient la première partie de sa promesse, mais échoue lamentablement à clore l’épisode, laissant un mauvais goût dans la bouche.
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La partie technique n’améliore en rien la réception : ni le son ni le montage ne sont solvables, et certains dialogues frôlent l’absurdité.Une occasion manquée d’adapter le roman du même nom Laurent Silva Classé troisième d’une série de neuf légendes par les chercheurs Bevilacqua et Chamorro.
Au début, ce serait peut-être plus amusant de commencer la maison par les fondations, c’est-à-dire en adaptant le premier roman, plutôt que de se présenter d’un coup aux personnages et d’attraper des mouches dans leur dialogue (? J’ai déjà dit que le son est mauvais « D’accord? », je répète : entre le fait que la qualité audio est désastreuse et le phrasé de certains interprètes impossible…). Mais de toute façon, une fois que la décision est prise de se concentrer sur un cas spécifique et concluant, les choses sont des pièces du puzzle reconstituées. Pas de chance cette fois, comme dans le cas de l’adaptation du deuxième roman de la série non, Alchimiste impatientle prix Nadal est également assez injuste dans l’industrie cinématographique.
exister brouillard et jeune filleLe sergent Reuben Gutiérrez et le caporal Virginia Chamorro (Aura Garrido) sont deux enquêteurs de la Garde nationale qui doivent s’attaquer à une affaire complexe et ancienne qui a débuté il y a deux ans, les politiciens locaux étant à l’époque les principaux suspects du crime. Un jeune homme dont le corps a été retrouvé sur l’île de La Gomera a eu la gorge tranchée, bien qu’il ait finalement été acquitté.
Maintenant, de nouveaux indices arrivent à la table du dîner de Bellaqua alors que lui et son partenaire se lancent dans un voyage sur l’île, où ils seront entraînés dans une histoire déconcertante d’amour interdit et de corruption politique qui mettra à l’épreuve leurs capacités professionnelles et leurs motivations les plus profondes.
Andrew Copell Réalise sa propre adaptation du roman de Silva, auquel il participe également Véronique Echegui (Ne blâmez pas le karma d’être un imbécile), Robert Alamo (Dieu nous pardonne), Sonny van Hertren (les limites de la vérité) et Paula Bontampi (cercueil en verre) Attendez. Le fait est que l’ouverture attire rapidement l’attention du spectateur : La Gomera est mystérieuse avec sa belle forêt de lauriers percée de lumière, et un cadavre est toujours une invitation à découvrir le meurtrier. La base parfaite pour un thriller qui vous laissera vous creuser la tête.
Mais la vérité est que la meilleure partie de ce film est : le paysage environnant, dense et éthéré, en même temps qu’il voile une intrigue qui n’a jamais été entièrement révélée.
Positif, sans doute le meilleur brouillard et jeune fille Oui ça peut servir de nouveau départ : imprécis, indécis, très améliorable, mais commençant après tout, développant les autres passages de cette nouvelle série de manière cinématographique.Au moins ola garrido A sauvé les votes et était une si bonne actrice qu’elle a réussi à avoir de la chimie avec elle Kim Gutiérrezsoit dit en passant, ses personnages sont rarement inspirés.
Il y a peu à dire sur le reste du casting : le personnage de Veronica Echegui se sent aussi polyvalent que le poivre à toutes les sauces (bien que compte tenu de ses capacités limitées, il vaut mieux ne pas en abuser sa présence transmet du réalisme), tandis que Roberto Álamo est plutôt gaspilleur.
La bande-son, bien conçue, est souvent utilisée pour masquer la mauvaise qualité du son (comment ? Vous n’avez pas encore compris ? Allez, encore un rappel : l’audio est impossible) ; mais qu’est-ce qui ne peut pas se cacher c’est les horribles coutures de montage, qui avaient même un fondu au noir incompréhensible.
Par ailleurs, brouillard et jeune fille Il manque d’esprit ou d’insinuation, se recrée de manière morbide dans certains moments très désagréables (sexe, drogue, cadavres), et met dans la bouche de l’acteur les conclusions que le public devrait tirer pour lui-même. Il vous donne la solution à la cuillère, mais elle est fatalement digérée car la recette n’est pas cuite. Je ne sais pas si je m’explique, bien que je doute que vous me compreniez bien.