Pourquoi ‘Paraiso’ n’est pas un ‘étranger’ en Espagne
Trois jeunes filles disparaissent dans une petite ville, une force surnaturelle qui semble menacer tous ses habitants… oui, un point de départ transcendantal ‘Paradis’ Il partage beaucoup de similitudes avec Stranger Things. Mais la série de Fernando González Molina, qui vient d’arriver chez Movistar+, n’a rien à voir avec la série sur Netflix. C’est ce que nous ont dit le réalisateur et ses comédiens lors de leur présentation au festival de Malaga.
« Je comprends la comparaison. Il y a trois éléments communs : les genres adolescent, nostalgique et fantastique. Cependant, il parle d’autre chose et l’énoncé principal est différent, mais nous ne voulions pas le dire pour ne pas embêter le public. De plus, c’est clairement en espagnol, et ça raconte d’une manière très espagnole les crimes d’Alcacer, l’été à Valence, l’histoire de manger des graines de tournesol »a expliqué le gérant. Macarena García a ajouté : « C’est intéressant que les gens vont s’émerveiller et découvrir. Faites-leur croire qu’ils vont voir une chose et en trouver une autre et découvrir un tout autre univers qu’ils ne l’imaginaient. Ils vont repartir la bouche ouverte. »
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« Les comparaisons sont inévitables, les enfants sont des pairs, mais l’histoire n’a rien à voir là-dedans, elle a plus de ‘Verano Azul’, ‘V’… Les deux séries sont les mêmes », Gorka Otxoa a expliqué. « Mais ils ont créé une histoire en 1992, et ce fut une très grande année avec beaucoup d’événements. » Iñaki Ardanaz a ajouté :
« Bien que nous sachions d’où vient leur inspiration, Fair ne nous a jamais donné de références à des pièces de performance. »
HOMMAGE AUX PHOTOGRAMMES
Fernando avoue avoir traité de nombreuses références : « Spielberg, Youth Series B, ‘Retour vers le futur’, ‘Cocoon’, ‘Goblin’, ‘V’, Joe Dante, Chicho Ibáñez Cerrado, ‘One, Two, three…’… drink TV. Et nous sommes plus émotifs et plus sombres que Stranger Things »Parmi les nombreuses allusions aux années 80 – Mecano, Game Boy, vidéo VHS… et FOTOGRAMAS. « Le premier que j’ai sorti, celui d’avril 1989. Je les ai depuis ce jour-là, et ma mère voulait que je les jette, mais je ne l’ai pas fait. Je n’oublierai jamais ma première fois dans un magazine Voyez-vous au sommet. »rappelez-vous le directeur.
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