pilote
direction: Martin Scorsese
distribuer: Leonardo DiCaprio, Cate Blanchett, Kate Beckinsale, Alec Baldwin, John C. Reilly, Ellen Alda, Ian Ho Elm, Gwen Stefani
Titre en VO : pilote
Pays de citoyenneté: utiliser an: année 2004 date de sortie: 14/01/2005 période: 166 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Jean Logan la photographie: Robert Richardson
résumé: Le film retrace la vie d’Howard Hughes (Leonardo DiCaprio) entre 1927 et 1948, ses années dorées à Hollywood, dans lesquelles il fut l’amant de Katherine Hepburn (Cate Blanchett) ou d’Ava Gardner (Kate Beckinsale) lorsqu’il était avec le même passionné de la première de son premier film en tant que réalisateur, Hell’s Angels, le premier vol de son avion spruce goose.Date de sortie : 14 janvier 2004
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Martin Scorsese semble suggérer que dans l’une des scènes les plus puissantes de ce film vertigineux, la vie d’Howard Hughes peut se résumer en une image d’une poétique troublante : un trottoir recouvert d’un tapis rouge en verre brisé. Le tapis rouge de la première de Hell’s Angels, ses lettres d’introduction suicidaires dans l’industrie cinématographique et ces cristaux étincelants fragiles faisant allusion à Howard Hughes, son semblant de tout-puissant allait bientôt se fissurer. « The Aviator » pourrait être trop à la fois : un exercice de genre soigneusement conçu par un auteur à plusieurs voix, un nouvel autoportrait sombre tourné à la troisième personne, un taureau en colère à son époque pourrait être, Scorsese’s Re-validated as a competent coordinateur d’un énorme produit de l’industrie après la déception de Gangs of New York, et le premier du genre de fandom nostalgique que le cinéaste a canalisé dans son travail documentaire à ce jour en méthode directe. Le pilote n’est pas disponible à tous les niveaux, mais la portée de son défi est énorme, presque Hughes-esque. Dans la peau de l’héritière texane entrée à Hollywood en parvenu, séduisant les stars invisibles, créant de fausses stars et sublimant sa mégalomanie par l’aviation, Leonardo DiCaprio ressemble à un homme avec un petit garçon barbu, qui venait de s’échapper du plateau d’Al Le petit-fils de Capone, Bagsy Malone, a réussi à transcender l’effet aliénant pour apparaître aussi émotionnellement convaincant que Cate Blanchett, cette dernière ne ressemble pas non plus à Katharine Hepburn, mais parvient à nous faire entrer en contact avec le personnage à travers son phrasé névrotique. Ce n’est pas le cas de Gwen Stefani, dont l’incarnation de Jean Harlow n’est qu’une preuve, ni de Kate Beckinsale, qui ne suggère même pas que Marcos O Marcos Ordóñez parle du rayonnement d’Ava Gardner dans le dernier numéro de FOTOGRAMAS. Aviator est, en bref, un film plus étrange qu’il n’y paraît : une simulation d’un produit de l’âge d’or d’Hollywood, par un homme dont la fascination/l’identité avec ses sujets ignobles ne peut être dissimulée, tant sur le plan esthétique que moral. Personnellement, je préfère Gangs of New York pour sa grandeur déséquilibrée et imparfaite, même si le pilote se rapproche de ce qu’Hollywood doit considérer, aujourd’hui, comme un film (presque) parfait. >> Pour les amoureux de la biographie plus vraie que nature. le meilleur: La nourriture de Hepburn. le pire: Que Scorsese n’est rien de plus que Hughes.
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