Manuel de radin
direction: Frédéric Cavalier
distribuer: Danny Boone, Lawrence Arne, Noemi Schmidt, Patrick Redmond, Christopher Favre
Titre en VO : Reding !
Pays de citoyenneté: La France an: 2016 Date de sortie: 17-02-2017 point final: 89 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Frédéric Cavalier la photographie: Laurent Durand
sommaire: François Gautier (Danny Boone), le premier violoniste de l’orchestre local, a un défaut majeur : c’est un radin. Il se chronométre sous la douche, éclaire sa maison avec des lampadaires, regarde la télévision des voisins avec des jumelles et mesure du papier toilette. François n’avait pas de vie sociale. Son seul ami est le directeur de sa banque. Inviter quelqu’un à boire un verre peut être fatal. Inviter des femmes à dîner est une torture. Mais la nouvelle violoncelliste de l’orchestre Valérie (Lawrence Arnée) ne voit pas François, mais le musicien dont elle tombe amoureuse. Puis Laura (Nomi Schmidt) se présente et dit à François qu’elle est sa fille. Sa mère le voyait comme un riche bienfaiteur de la cause des enfants, tandis que Laura l’idéalisait comme un héros. François a maintenant deux problèmes en plus d’un défaut majeur : Valérie et Laura, qui l’aiment parce qu’il ne l’est pas. Il suit leur jeu, mais tout faux pas pourrait lui coûter cher…
la revue
Le plus : La présentation des personnages et leurs environnements sinistres.
Le pire de tout : toutes les parties sentimentales.
Dany Boon, comme Louis de Funès et d’autres célèbres dessinateurs de cinéma français, a fait un clin d’œil (twitch) au célèbre Molière. Si « Super Scarlet » (2014), qu’il a réalisé et interprété, est toujours « The Imaginary Patient », alors ce « Handbook of Petty » tout aussi divertissant Il ne cache jamais les mises à jour (dans la forme, pas dans le fond) d’œuvres théâtrales classiques immortelles avare. Plus diabolique et malveillant que son prédécesseur (tout revient finalement à la coutume anglo-saxonne de racheter les personnages négatifs par l’amour), et son réalisateur Fred Cavayé a lui aussi un certain malaise, qui est dans l’expérience est mieux dans un thriller que dans une comédie.
S’abandonnant docilement à son étoile, Cavaille brille dans certaines scènes (ces rituels avare de faux achats) où il laisse un rythme très cartoony, Mais il a sacrifié sa voix pour contrer la puissance d’un Danny Boone qui a brodé un personnage d’anthologie : François Gautier, reflet parfait de cette époque consumériste, il était probablement André BD Talon d’Achille dans Franken’s Acid Pencil.
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