marais
direction: Lucrèce Martel
distribuer: Martin Adjemián, Graciela Borges, Diego Baenas, Leonora Balcarce, Mercedes Morán
Titre en VO : marais
Pays de citoyenneté: Argentine, Espagne an: 2001 période: 102 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Lucrèce Martel la photographie: Hugo Coles
résumé: La Mandrágora est le nom de la ferme où Mecha passe ses étés, une mère de quatre enfants mariée de 50 ans dont le mari se teint les cheveux. Le cousin de Mecha, Tali, a également quatre enfants et un mari. Il vit à La Ciénaga, une ville du nord-ouest de l’Argentine. Les deux accidents ont réuni les deux familles à la campagne. Là, ils essaieront de survivre à un été horrible.
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La Ciénaga est une petite ville du nord de l’Argentine ; le marais est aussi le site physique des eaux marécageuses, où les animaux pris dans le piège mortel de la boue coulent ; mais surtout, le marais est un espace psychologique qui se sent submergé, décomposé et corrompu. Lucrecia Martel réunit ces trois marécages dans un film insolite, troublant, qui colle à la peau comme le souffle de la chaleur sur l’écran. Enfermés dans un cercle dense qui commence par un petit incident et se termine par un accident mortel, les personnages habités du paysage de cette histoire en chœur évoluent dans un équilibre mental et physique précaire, gravitant autour de deux femmes, Tali et Mecha. Tali a quatre enfants, Agustina, Martín, Mariana et le petit Luchi. Elle vit à La Senaga avec son mari Rafael, mais Tully s’ennuie et rêve d’un voyage impossible en Bolivie. Son cousin Mecha a également quatre enfants adolescents, Jose, Veronica, Joaquin et Momi. Elle vit à la ferme La Mandragola à la campagne avec son mari Gregorio, un ivrogne paresseux qui se teint les cheveux. Le sexe paresseux et impuissant circule dans toute la pièce. Momi a le béguin pour la jeune femme de chambre indienne Isabel ; Verónica et José jouent les naïfs ; les mechs les rassemblent autour de son lit comme des insectes autour d’une lampe. L’histoire commence un matin de cet été chaud et sensuel lorsque Mecha a épinglé un verre sur sa poitrine alors qu’elle tombait ivre. Avec ces éléments, Martel construit un mélodrame latent, latent, où il ne refait jamais surface, et il est noyé dans le limon, pas embourbé dans le drame. Tout au long du film, cependant, un voile à peine visible d’humour et de parfum d’un autre monde flotte au-dessus de son imagerie dense. C’est peut-être parce que l’apparence et la forme du visage de Xiaolu Chi ressemblent trop au garçon du troisième numéro de « Chance Encounter », qui est naïf et délirant devant de vrais extraterrestres. Bien que dans ce cas, les extraterrestres soient leur propre famille. >> Pour les amoureux de famille et de nature insolite. Le plus : L’un de ses principaux attraits est sa traduction. Pire : On veut en savoir plus sur Isabel, la bonne indienne et leur peuple.
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