« The Lulu Age »: 10 merveilles du 30e anniversaire
Marchand
Il y a 30 ans, il est arrivé dans les cinémas espagnols « L’ère Lulu »film du réalisateur Bigas Lune Et adapté le roman érotique du même nom d’Almudena Grandes, lauréate du Vertical Smile Award. Le film va au-delà du titre et raconte l’histoire de Lulu, une jeune femme qui entre dans un monde d’expérimentation et de fantaisie après être devenue un jouet sexuel pour l’un des meilleurs amis de son frère, la menant à La limite la plus sombre. Plans à trois, orgies, sexe entre frères… Ce film a suscité beaucoup de polémiques avant, pendant et après le tournage. De « Frightening » d’Ángela Molina à la danse du réalisateur, nous nous souvenons de nos 10 curiosités de l’un des titres les plus courageux et les plus audacieux de la cinématographie. Un bijou pas pour tous les goûts.
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1 L’abandon d’Angela Molina…
Bigas Luna l’a précisé : Ángela Molina, qui recevra le Goya d’Honneur l’année prochaine, a déjà travaillé avec elle sur Lola, et elle est parfaite pour incarner Lulu à l’âge adulte. Pendant son adolescence, sa sœur aînée Monica la jouait. Cependant, dix jours avant le début du tournage, Angela a abandonné le projet après avoir confirmé que les modifications qu’elle suggérait dans le scénario, qu’elle croyait presque pornographiques, n’avaient pas été apportées.
2 …et la signature expresse de Francesca Neri
C’est alors que Bigas a choisi Francesca et a décidé lors du casting qu’elle jouerait Lulu dans toute sa tranche d’âge : de son adolescence à la trentaine. L’actrice Natalia Dicenta l’a doublé en espagnol, alors que Neri a tourné tout le film en italien.
Francesca était totalement inconnue en Espagne, mais elle a réussi à faire du film un énorme succès en Italie. Plus tard, il a travaillé avec des réalisateurs tels que Carlos Saura (« Shoot! ») ou Pedro Almodóvar (« Carne trémula »).
3 Penelope Cruz, bientôt protagoniste
De nombreuses actrices espagnoles ont passé le test de Lulu, mais Penelope était l’une des plus proches du rôle. En fait, deux ans plus tard, il était la star « ibérique » du prochain film de Bigas : « Jamón, Jamón ».
4 Et si Luis García Berlanga le réalisait ?
Au début, c’était l’idée d’Andres Vicente Gomez, qui a acheté les droits du roman la même année, et Berlanga faisait partie du jury du Vertical Smile Award. Cependant, le producteur a rejeté la proposition du producteur et a plutôt recommandé Bigas Luna : une histoire qui s’intègre parfaitement dans l’univers de son collègue catalan.
5 Transformation Bigas Luna
Avec L’Âge de Lulu, Bigas clôt la phase la plus sombre et la plus captivante de son film avec « Bilbao » (1978), « Caniche » (1979), « Lola » (1986) ou encore « L’Angoisse » et d’autres titres pour le logo’ ( 1987). Après avoir adapté le roman d’Almudena Grandes, il lance sa célèbre trilogie méditerranéenne, composée de « Jamón, Jamón » (1992), « Huevos de Oro » (1993) et « La Teta y la Luna » (1994), et s’accorde avec un plus Circuit « commercial ».
6 Les débuts courageux (et chauds) de Javier Bardem au cinéma
Alors que nous l’avons vu dans des séries comme « El pícaro » ou « Second Teaching », Javier Bardem a fait ses débuts dans « The Lulu Age », dans lequel il incarne Jimmy, un homme qui satisfait l’un des fantasmes les plus chauds du protagoniste Un menteur.
7 Goya pour Maria Barranco
L’actrice a remporté son deuxième prix Goya de la meilleure actrice dans un second rôle (le premier était pour « Une femme au bord du gouffre »), grâce à son interprétation tendre et déchirante d’Ely, qui est Un travesti entre dans la vie d’un couple composé de Francesca et Oscar Radova.
8 Almudena Grandes, scénariste
Bien que plusieurs de ses œuvres soient basées sur l’une de ces histoires, comme « Malena es un nombre de tango » (Gerardo Herrero, 1996), « Même si tu ne sais pas » (Juan Vicente Córdoba, 2000) dans son « Femme Model » dans ; « The Difficult Gesture » (Gerardo Herrero, 2006) ; « The Atlas of Human Geography » (Azucena Rodríguez, 2007) ; ou « The Cardboard Castle » (Salvador García Ruiz, 2009), Almo Dana Grandes est uniquement impliqué dans « The Lulu Times » en tant que scénariste.
9 Une fin légèrement heureuse
Il y a quelques différences entre le roman et son adaptation cinématographique. Par exemple, dans les pages de ce livre, on parle davantage de la situation politique de l’époque. De plus, la fin du film est bien « meilleure » que ce qu’Almudena Grandes a écrit.
10 Óscar Ladoire, « Consultant » de l’Almudena Grandes
Dans la préface du dernier numéro de « The Lulu Times », Almudena Grandes a assuré au « vieil ami » Oscar Radova qu’il avait lu le roman avant sa publication et lui avait dit : « Cette fille est une amante Cry, tout est une souris qui pleure. »
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