Souvenirs de meurtre (Serial Killer Chronicles)
direction: Bong Joon Ho
distribuer: Song Kan-ho, Kim Sang-kyung, Byun Hee-bong, Kim Seo-ha, Song Jae-ho
Titre en VO : Salinidro
Pays de citoyenneté: Corée du Sud an: Année 2003 date de sortie: 21-05-2004 période: 129 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Bong Joon-ho, Shen Chengbao, Kim Sang-kyung la photographie: Kim Hyung Kyu musique: Ishiyotaro
résumé: Entre 1986 et 1991, une petite ville de Séoul a été le théâtre du viol et du meurtre de dix femmes âgées de 13 à 71 ans. L’idée d’un tueur en série terrifie les échelons supérieurs de la société, et ils essaient de le dissimuler.Date de sortie : 21 mai 2004
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La santé du cinéma coréen est enviable. La personnalité écrasante de Kim Ki-duk rejoint désormais le nom de Bong Joon-ho, dont le deuxième film est une œuvre destinée à faire tomber les barrières à l’appréciation culturelle. Mêlant le meilleur du brio des thrillers américains, une certaine mélancolie, so french, voire un slapstick de tragi-comédie quasi méditerranéenne, il parvient à donner à ce CSI de pays bâclé… quelque chose d’unique, au-delà. Un pur (et excellent) savoir-faire cinématographique que tout cinéphile peut apprécier. . Et ce n’est rien de plus qu’un regard passionnant, tendre et finalement compréhensible sur un monde troublant d’erreurs humaines et de limitations intellectuelles. Les souvenirs de meurtre nous confrontent à un monde trop semblable au nôtre. Un écosystème qui se nourrit de frustrations, de patchs intellectuels et émotionnels. Une histoire horriblement absurde, comme la vraie, ne peut se terminer que de façon décevante. >> Adapté à tout type de public. Le plus : La capacité des acteurs et des réalisateurs à combiner différentes tonalités et rythmes. Le pire : rien.
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