délicieuse marthe
direction: Sandra Nettlebeck
distribuer: Martina Goldeck, Maxime Forster, August Zilner, Ulrich Thomson, Sergio Castellito
Titre en VO : Dre Stern
Pays de citoyenneté: Allemagne, Autriche, Italie, Suisse an: 2001 date de sortie: 26-07-2002 période: 105 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Sandra Nettlebeck musique: David Chéri
résumé: Martha (Martina Gedeck) met en valeur ses talents culinaires au restaurant où elle est chef. Son partenaire de cuisine (Sergio Castellito) est un charmant italien lorsqu’un horrible accident met sa nièce de huit ans (Maxim Forster) aux commandes, elle sera sa meilleure aide émotionnelle.
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C’est toujours une ironie consciente pour un film majoritairement allemand de finir par se demander si l’imperfection n’est pas plus riche que la grille. Si en termes de football, maintenant que la Coupe du monde est terminée, la cruauté et la rationalité de l’équipe allemande ont été surmontées par la fantaisie, les chances du Brésilien lunatique, dans ce beau roman miniature, ont un travail intime et une profondeur (deep draft). )) , l’illogisme du sentiment triomphe de la stérilité. La métaphore culinaire ne trompe personne : dans la simplicité se cache le secret de l'(im)perfection, dans elle et les condiments, dans le fait de savoir (en tant que nouveau réalisateur) prendre son temps. Un chef ne sait exprimer l’amour et l’émotion qu’à travers les plats qu’il prépare pour les autres. Toujours inquiète, à la limite de devenir folle, pour plaire aux autres, Martha fait partie de ces personnages solitaires qui ne vivent pas pour pouvoir vivre, qui ne s’arrêtent pas pour goûter aux épices, à la nourriture, et pouvoir manger ou cuisiner. Manger, boire, aimer, découvrir L’Amour, dans une rom-com douce qui ne remet pas au goût du jour la carte familière, mêle deux mini-genres à sa sauce sans trop cuire le temps de cuisiner : des personnages antagonistes qui finissent par tomber amoureux l’amour (M. Tina Goldeck et Sergio Castellito font un excellent travail avec le ton intime et doux-amer de Frankie et Johnny, Terrence McNally), et la tradition des hommes célibataires associés à la solitude par l’adoption forcée d’un garçon ou d’une fille (A Great Dad , A Big Boy ou la sitcom Javier ne vit plus seul). Delicious Martha n’a pas de conservateurs ni de trucs creux, va droit au cœur avec sincérité et a parfois un certain arrière-goût de Zeffillian (je m’en fiche) lors de l’utilisation du mélodrame. Italianisation de tedesco ? Convient aux palais sensibles. Le meilleur : plein d’esprit, inévitablement la quintessence de Sergio Castellito. Le pire de tout : à ce stade, ils utilisent encore le rôle d’un thérapeute ou d’un psychiatre.
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