Dagon, la secte de la mer
direction: Stuart Gordon
distribuer: Ezra Gordon, Francisco Labal, Raquel Melonio, Usha Blanco, Brendan Price, Macarena Gomez
Titre en VO : Dagon
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2001 date de sortie: 11 novembre 2000 période: 94 le sexe: la crainte Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Denis Paul la photographie: Carlos Suárez musique: Affaire Kars
résumé: Paul (Ezra Gordon) et Barbara (Raquel Melonio) profitent de vacances paisibles sur un bateau au large de la Galice, après avoir percuté un récif, doivent se réfugier dans un petit village de pêcheurs habité par d’étranges personnages. Les choses empirent lorsqu’ils découvrent que d’étranges habitants vénèrent un dieu de la mer terrifiant, à qui ils offrent des sacrifices… des humains.
critiquer
La nature des films de Stuart Gordon il y a trois décennies a peu de réverbération dans les salles commerciales. Pendant ce temps, les vidéothèques remplissaient exclusivement leurs rayons d’œuvres annexes « Re-Animator » ou « Re-Sonator ». C’est dommage, car le glamour de cette salle de cinéma est indissociable du grand écran et du plaisir collectif. Dagon est un film imprégné de la philosophie amicale de la série B que Gordon a cultivée (ce qui donne à un produit comme Space Truck Driver le « glamour »). Dans Dagon, Gordon revient sur Lovecraft, l’auteur des deux titres évoqués au début de l’adaptation, et revient sur lui, en conservant le fil conducteur qui lui a donné du prestige dans les films d’horreur : l’ambiance (l’action se déroule). place du village, ça a décidément des gobelins), brièveté, humour et souci d’entretenir une moelle sanglante sont ses maîtres mots, et les cinéastes en profitent pour offrir aux inconditionnels un vrai festin, techniquement très proche (Brilliant cinematography de Suarez, culminant music de Keys et al.) « Dagon » a largement dépassé les deux premières de la Catalan Fantasy Factory : « Faust : Vengeance in the Blood » et « Dagon » Arachnids ». On notera en particulier la dernière apparition à l’écran de Paco Labal. Personne n’aurait pu imaginer que le protagoniste de « Il y a un chemin vers la droite » et « Nazarin » terminerait sa brillante cinématographie, non pas avec un film d’horreur classique, mais avec une scène comme celle-ci qui l’a mis le feu, ça ne devrait pas être En tout cas, Rabal dévore sans effort le reste du casting par un Yankee qui restitue la silhouette vertigineuse de l’attachant Jeffrey Combs pour la pièce Actor leadership de Gordon. >> Pour les fans de films d’horreur des années 80. Cerise sur le gâteau : Calm & Rabal défend un personnage qui aurait dû lui échapper. Pire encore : il n’y a pas de peur dans l’orgasme final.
Ce contenu est créé et maintenu par des tiers et importé dans cette page pour aider les utilisateurs à fournir leurs adresses e-mail.Vous pouvez trouver plus d’informations à ce sujet et sur du contenu similaire sur piano.io