Resident Evil 2 : Apocalypse
direction: Alexandre Witte
distribuer: Milla Jovovich, Sienna Gallory, Odd Fehr
Titre en VO : Resident Evil : Apocalypse
Pays de citoyenneté: Canada, Royaume-Uni an: année 2004 date de sortie: 05-11-2004 période: 93 le sexe: action Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Paul WS Anderson la photographie: Derek Rogers, Christian Sebalt musique: Jeff Dan
résumé: La terrifiante Umbrella Corporation décide d’expérimenter un virus terrifiant qui peut transformer les gens en zombies. Comme terrain d’essai, il choisit Raccoon City, qui sera bientôt fermée par un maire corrompu (Thomas Kretschmann). Les résidents qui ne deviennent pas des morts-vivants reçoivent une aide inattendue pour échapper au danger : l’intrépide et courageuse Alice (Milla Jovovich).Date de sortie : 5 novembre 2004
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En reliant les parties du scénario entre elles, la notion de causalité comme règle de base, l’idée de ce qu’on a toujours appelé la transition entre les scènes, semble subir un déclin inexorable (qui sait si définitif) dans un certain type du théâtre commercial. Cette tendance peut être observée dans presque tous les genres, mais elle est particulièrement visible dans les films qui ont leurs origines dans les jeux vidéo, avec l’avant-dernier exemple de Resident Evil : Apocalypse. Cela semble logique quand un long métrage naît avec une matière première littéraire. , d’une part, il aura quelques piliers narratifs minimaux, qu’ils soient fragiles ou solides ; d’autre part, son public potentiel attendra également une sorte de cohésion dramatique du film. On peut aussi supposer que la plupart des cibles jeunes, et plus familières avec les sens du langage purement audiovisuel des salles d’arcade qu’avec la structure scénaristique du roman, n’exigeraient pas beaucoup d’un tel film, que ce soit en termes de cohérence narrative ou de conformité à causalité. C’est pourquoi, partant du principe que le scénario (sic) signé par Paul W.S. Anderson (réalisateur de la première partie) n’est rien d’autre qu’une série de blocs semi-scellés, plus proches de niveaux de jeu vidéo que de chapitres d’histoire en eux-mêmes. En d’autres termes, le public lié à la science fantastique désireux de suspendre toute activité neuronale finira probablement par voir Resident Evil 2 : Revelations comme un spectacle valable, un produit défendable et simplement une expérience d’adrénaline, un plaisir esthétique et sonore totalement exempt de toute servitude fabuleuse. Pour ceux qui ne demandent pas qu’on leur raconte l’histoire. Le meilleur de tous : Deux gazelles étoilées : Classic Jovovich et Apocalypse Guillory. Le pire : essayer de la voir réfléchir à la logique de l’intrigue.
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